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Ciney - Page 47

  • 7 couples fêtés à l’hôtel de ville de Ciney, 2 pour le diamant, 5 pour l’or

    Dernier rendez-vous de l’année pour la ville de Ciney pour fêter des couples pour leurs 50 ans ou 60 ans  de mariage en présence de leurs familles et du Collège communal dans la salle du conseil communal. Frédéric Deville a d’emblée demandé que l’on lise le message de la Maison de sa majesté le Roi à l’adresse des 7 couples mais en une seule fois ! Ensuite, pour chaque couple, petite présentation par un des échevins, remariage par le bourgmestre, fleurs, pot de miel du rucher citoyen de la rue du Pondire et chèques cadeaux à chaque couple.

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    DSC_0969.jpegÉmile Bellaire, né le 30 mai 1942 à Achet et Marie Marchal née le 11 avril 1942 à Ciney, se sont mariés le 22 septembre 1962 à Ciney. Ils se sont rencontrés à la kermesse de Achet. Après leur mariage, ils se sont installés à Ciney puisqu’Émile travaillait aux Forges où il a effectué toute sa carrière.  Ils ont bien vite acheté une maison dans la quartier Saint Roch. De son côté, Marie a fait un peu de couture, puis a travaillé à la RTT et ensuite aux Forges également, comme réfectoriste. La fermeture de l'entreprise a mis fin prématurément à leurs carrières.  Le couple a 2 enfants, 4 petits-enfants et 6 arrière-petits-enfants. Ils passent une retraite tranquille et paisible dans un beau petit appartement à proximité du centre-ville.

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    Henry Descy né le 30 janvier 1939 à Durnal a épousé le 6 octobre 1962 à Namur Liliane Galand née le 10 novembre 1942 à Fosses-la-Ville. Ils se sont rencontrés chez une sœur de Liliane qui, à l'époque, habitait Charleroi, ou plus exactement Heppignies. Si Henry a fait toute sa carrière à l'EPC, son épouse s'est occupée des enfants, du ménage et, ensuite, des petits-enfants. Ils ont en effet cinq enfants, 17 petits-enfants et 10 arrière-petits-enfants ! Leur loisir principal était la marche. Ils aiment aussi, de temps en temps, aller manger sur la place Monseu où la copine de leur petit-fils a ouvert le restaurant Complice.

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    C’est 23 septembre 1972 à Ciney que Michel Bourguignon, né le 23 novembre 1948 à Walcourt et Maryse Libois, née le 22 août 1949 à Ciney se sont mariés. Ils se sont connus lors d'un bal à la salle communale de Ciney. Ils ont habité Ciney dès leur mariage et jusqu'à aujourd'hui. Michel a travaillé chez Glaverbel à Moustier, puis à l'administration de l'Aéronautique à Bruxelles tandis que Maryse Madame était secrétaire médicale, successivement à Sainte Élisabeth à Namur, puis à la polyclinique de Ciney et, en fin de carrière, à l'hôpital de Dinant. Ils ont deux filles et cinq petits-enfants, dont des jumeaux. Michel a joué au football jusqu'à l'âge de 38 ans et est ensuite devenu entraîneur. Leurs deux filles ont joué au basket et ils les suivaient chaque week-end.

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    Pierre Hannin né le 31 mars 1946 à Marche-en-Famenne et Michèle Dewael née le 12 février 1948 à Diest se sont mariés le 23 septembre 1972 à Ixelles. Ils se sont rencontrés à Leuven où ils étaient tous deux inscrits en Faculté de droit. Après leur mariage, ils sont partis pour le Maroc où ils sont restés deux ans. De retour en Belgique, ils se sont installés à Bruxelles, puis à Mollem dans le Brabant flamand.  Les enfants ont fréquenté, en néerlandais, l'école du village. Michèle a travaillé à l'administration provinciale du Brabant et Pierre à l'Institut géographique national. Il est ensuite devenu juge d'instruction à Dinant et, devant résider dans l'arrondissement, la famille s'est installée à Scy, puis, il y a une vingtaine d'années, à Leignon. Michèle s'est occupée du Gardian et a élevé ses 4 enfants.  Ils ont aujourd'hui aussi trois petits-fils.

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    Le 7 octobre 1972 à Archennes Jean Germain, né le 4 juin 1949 à Spontin, a épousé Françoise Bal, née le 26 août 1949 à Marchin. De cette union, sont nés trois enfants : deux habitent à Spontin, le 3e au Québec. Ils sont aussi papy et mamy de cinq petits-enfants. C’est en 1976, après quelques années d’appartement à Leuven et à Wavre, qu’ils se sont installés à Vincon dans la modeste fermette du grand Gusse Deville, arrière-grand-oncle du mayeur. C’est à l’Université de Louvain (encore à Leuven à cette époque), très grande agence matrimoniale s’il en est, que leur rencontre a eu lieu, amorcée d’abord dans une soirée dansante au cercle des romanistes de la Tiensestraat puis prolongée sur les strapontins des auditoires de Philo et Lettres.

    Françoise, licenciée en philologie romane, a enseigné avec passion le français, langue et littérature, d’abord à Louvain-la-Neuve, puis à la Providence à Ciney de 1978 à 2009, avant de s’adonner à l’écriture et au racontage de contes.

    Lui, Jean, s’est consacré tout particulièrement à l’étude du wallon et des noms propres, tout en assumant la direction de la Bibliothèque générale à Louvain-la-Neuve durant 38 ans, après y avoir déménagé la part attribuée à l’UCL de la grande bibliothèque centrale, suite au Walen buiten.

    Professeur à temps partiel à l’UCL une dizaine d’années et Secrétaire de la Commission royale de Toponymie et de Dialectologie, Jean continue à contrôler et gérer les nouveaux noms de rues dans les provinces wallonnes, assumant en outre la normalisation orthographique des toponymes sur les cartes de l’Institut Géographique National (IGN). Il a reçu récemment le prix Richelieu.

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    DSC_0975.jpegC’est le 27 octobre 1972 à Hamois que Jules Flahaux né le 1er décembre 1946 à Pessoux et Marie-Paule Wathelet, née le 26 juin 1947 à Hamois se sont mariés. Ils ont 3 enfants et 7 petits-enfants. Marie-Paule a été assistante sociale à l'IMP et au Home du Sacré Cœur jusqu'en 1973 et a ensuite aidé son mari dans ses activités professionnelles. Elle a été Conseillère communale de 1994 à 2000. Son mari a été médecin généraliste à Ciney de 1973 à 2009. A 36 ans, il a été élu le plus jeune conseiller du Conseil de l'Ordre de la Province de Namur. Il a été Conseiller communal de 1982 à 1994, ayant décliné un échevinat en 1988. Il a ensuite été Président du CPAS de 2012 à 2018.

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    Jean-Marie Degrune né le 24 juin 1947 à Waulsort et Brigitte Closset née le 22 avril 1954 à Waulsort se sont mariés le 18 novembre 1972 à Malonne. Ils se sont rencontrés lors d’une soirée avec des amis communs. De cette union est né un fils.

    La carrière professionnelle de Jean-Marie est assez linéaire, en 1962 il est recruté à la SNCB en qualité de porteur d’avis. De 1966 à 1969 il s‘est engagé à l’armée belge en tant que volontaire en temps de paix. Il sera affecté à un bataillon combattant stationné en RFA. A son retour à la vie civile, il reprend du service à la SNCB où, après 40 ans de service sa carrière prend fin au centre de formation professionnelle à Ronet.

    L’activité professionnelle de Brigitte débute au Fond des Maladies Professionnelles à Bruxelles. A la naissance de son fils, elle met sa carrière entre parenthèses. Elle reprendra du service à l’ITN à Namur, ensuite elle assurera la gérance d’un magasin EPECE, et puis elle sera concierge, après quelques années passées en restauration dans l’Horeca.

    Jean-Marie a, pendant plusieurs années, assuré le secrétariat de la Royale Fraternelle de l'Armée Secrète de Ciney et de CIMELI. Parallèlement à cela, Jean-Marie a aussi occupé la vice-présidence du Conseil Consultatif Communal des Aînés. Depuis peu, il est maintenant bénévole à la Maison de la Croix-Rouge à Ciney.

  • En ce 11 novembre, en se remémorant le passé, on affirme des valeurs pour aujourd’hui !

    C’est notamment en présence du chef de corps du Centre de Compétence et Mobilité et Distribution de Peutie, de nombreuses personnalités de la vie politique cinacienne et de quelques enfants que s’est déroulée la commémoration du 11 novembre au pied du monuments aux morts.

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    DSC_0912.jpegPour Frédéric Deville, bourgmestre qui a d’abord rappelé ce qu’il s’est passé le 11 novembre 1918 à 11h, « commémorer, c’est se souvenir ensemble d’événements passés en tant qu’ils fondent une identité collective, un être ensemble et un rapport au monde. Les commémorations du centenaire de la fin de la 1ère guerre, en 2018, ont suscité une grande émotion populaire et ont été marquées par une grande ouverture médiatique. Comme il n’y a plus un seul témoin de cette immense catastrophe, ces commémorations ont été les dernières où des liens affectifs directs étaient présents. Or l’engouement du public s’enracine dans une large mesure dans ces mémoires familiales… Ce qui fait vivre une nation, ce sont ses valeurs morales qui ont soutenu ceux que nous honorons aujourd’hui, ceux qui se sont sacrifiés dans les combats où la nation et la démocratie étaient qui les avaient engagés. Dès la fin de la 1ère guerre, les tentatives pour bâtir une paix durable se sont multipliées, hélas, pas toujours été couronnées de succès. Il y a un an, on pouvait penser et espérer que la paix avait été retrouvée grâce notamment à une Europe plus forte. Aujourd’hui, nous devons déchanter, la guerre est à nouveau là, mais si elle ne nous concerne pas directement. Avec l’invasion russe, l’Europe est fragilisée. Quand nous réunirons-nous pour fêter la fin de ce conflit qui s’éternise ? Il faut retrouver cette joie de vivre à laquelle nous aspirons tous, et, qui a peut-être quitté certains d’entre nous, et on peut les comprendre en raison de ces crises successives qui nous agressent tous dans notre vie quotidienne. »

    En fin de discours, le mayeur a remercié les porte-drapeaux et représentants de associations patriotiques, les musiciens et choristes, le personnel communal qui a préparé cette journée et le Franc Thour présent au Centre Culturel pour la partie apéritive.

  • 1.400.000 euros de subsides wallons pour la mobilité douce à Ciney !

    Des parkings vélos sécurisés, des trottoirs, des pistes de mobilité douce au départ des villages et vers la gare sont en projet. Le dossier soumis par la Ville de Ciney à la Région wallonne vient de recevoir le feu vert du Ministre Henry.

    Début 2022, le Gouvernement Wallon annonçait aux communes son Plan d’Investissement Mobilité Active Communal et Intermodalité (PIMACI) pour 2022- 2024. La Wallonie informe donc chaque commune qu’elle bénéficie d’un droit de tirage pour des projets favorisant la mobilité douce. Le subside annoncé pour la Ville de Ciney s’élève à un peu plus d’1.400.000 euros.

    50% de cette somme doivent être affectés à l’aménagement cyclable, 20% aux aménagements piétons. Les 30% restants sont dédicacés aux aménagements favorisant l’intermodalité (utilisation de plusieurs modes de transport au cours d'un même déplacement) à travers des mobipôles (lieux où convergent différentes offres de mobilité, comme par exemple, les gares bus-train).

    9 fiches

    Au Conseil communal de juin, le Collège communal cinacien a pu présenter son plan composé de neuf fiches.  Celui-ci a été approuvé à l’unanimité par le Conseil.

    1. Création d’une piste de mobilité douce, rue Courtejoie (entre la sortie du Parc Saint-Roch et l’entrée de l’Institut Saint-Joseph)
    2. Création d’une piste de mobilité douce entre Sovet (du bout de la rue) et Braibant (entrée de la rue de Mont)
    3. Installation de parkings vélos sécurisés
    4. Création de trottoirs, rue Verte voie à Ciney
    5. Création de trottoirs, rue du Cimetière à Ciney
    6. Création de trottoirs, rue de Basy à Corbion
    7. Création d’une piste de mobilité douce à Haljoux (à partir de la sortie du Ravel jusqu’à la petite route à gauche en direction des établissements Ronveaux)
    8. Aménagement d’une piste de mobilité douce à Chevetogne, rue Grande
    9. Création d’une piste de mobilité douce, Quai à l’industrie à Ciney

    L’ensemble de ces travaux est subsidiable à 80%. La part communale s’élève donc à 350.000 euros environ. Validé par le Conseil communal, le dossier a donc pu être introduit fin juin sur la plateforme de la Région Wallonne. Fin septembre, le Ministre Henry a donné son feu vert pour le dossier cinacien. A l’heure de la crise énergétique, le Collège communal retrousse une nouvelle fois ses manches pour faire avancer au plus vite ces projets destinés à favoriser la mobilité douce.