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Ciney - Page 50

  • Un ouvrage écrit par Jules Delfosse sur le Bocq vient de sortir de presse

    De sa source à Scy jusqu’à son embouchure à Yvoir, Jules Delfosse, natif d’Emptinne, qui enfant regardais dans ses reliefs le cours de l’eau du Bocq, a mis 5 ans pour réaliser un livre de 4 kilos, de près de 400 pages et de plus de 600 illustrations sur une des plus jolies rivières du Condroz !

    Quoi de plus normal pour présenter un livre sur le Bocq que de se retrouver à la Brasserie du Bocq à Purnode ! C’est ainsi qu’en ce premier jour d’octobre, Jules Delfosse accueillait ses amis et des mandataires des communes d’Yvoir et de Hamois pour décrire les grandes lignes de son livre et d’inviter tout le monde à une belle croisière sur le Bocq !

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    Le Bocq, c’est 3 communes qu’il traverse dans sa vallée, Hamois, Ciney et Yvoir et c’est 12 villages qu’il arrose sur 45 km : Scy, Mohiville, Achet, Hamois, Emptinne, Natoye, Braibant, Spontin, Dorinne, Purnode, Evrehailles et Yvoir. Tous les ruisseaux qui s’y jettent sont également décrits : Asneux ou le Mauge, le Fontaine, le Biron, le Leignon, le Petit Bocq, le Saint Remacle, le Skeuvre, Ri de Vincon et le Crupet.

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    Le Bocq prend sa source la plus importante au lieu-dit la Socque à Scy. Le mince filet d’eau alimente le parc du château. Ensuite, direction Mohiville où il baigne le lieu-dit Enclos Charloteresse où Nicolas Hauzeur a découvert en 1855 des tombes mérovingiennes. Dans le hameau de Scoville, le Bocq alimente un moulin reconstruit en 1743 à l’emplacement d’un site romain. Une fontaine-lavoir et une aire de pique-nique le jouxtent. A Achet, 3 moulins ont existé. En quittant Achet, le Bocq alimente les étangs et l’ancien moulin du Bout d’Hubinne. Deux autres moulins existent à Hamois, celui du moulin d’Hubinne (sa restauration est bientôt terminée) et celui situé au pied de l’église Saint Pierre. Puis direction Emptinne en passant par Spange où est né Bérégise vers 640. Passage au moulin d’Emptinne dont l’exploitation pris fin en 1961. Le Bocq alimente plusieurs étangs destinés à la pisciculture au château de Fontaine puis passe sous le pont Joseph II à Emptinne (l’Empereur a dormi au Relais de Poste). En aval du pont d’Emptinal, le Bocq prend son cours vers Ciney à Braibant où l’on peut découvrir le château de Halloy et ses étangs. Puis, retour dans la commune de Hamois à Natoye où il serpente sous les regards du château de Mouffrin puis arrivée à Reuleau où l’on peut découvrir un pont-vannes puis Sovet. Arrivée ensuite à Spontin où l’exploitation des eaux minérales s’est arrêtée en 2010. Le village est aussi connu pour son château médiéval et son moulin aujourd’hui restauré. Passé Spontin, le Bocq serpente dans la vallée accompagnée par la ligne de chemin de fer. Par le passé, le Bocq était bien équipé de mécanismes de retenue d’eau afin de les transformer en énergie pour les meuniers et les carriers. Ils sont devenus aujourd’hui des obstacles (un total de 33 !) pour la libre circulation des poissons. Ce qui explique la création d’échelles à poissons. A Bauche, on peut découvrir un moulin. Enfin, arrivée du Bocq à Yvoir où, dans son parc communal, on peut découvrir une fontaine Meuse et Bocq (on y attend toujours le retour du Bocq !) et le Maka, dernier témoin de l’activité métallurgique qui a dominé la vie économique d’Yvoir durant la première moitié du 19e siècle.

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    La 2e partie du livre est consacrée aux origines des noms Bocq, Pauleia et Bauche. Elle est suivie de quelques annexes : la carte du Bocq et de ses affluents, Ferraris, Jean-Baptiste d’Omalius, une bibliographie, des références et des remerciements. En fin de l’ouvrage, on apprend que Jules Delfosse prépare un ouvrage sur Hamois et ses 7 villages.

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    Le livre est dédié à 2 amis de Jules aujourd’hui décédés qui l’ont beaucoup encouragé à développer son amour pour l’histoire : Luc Jadot, ancien bourgmestre qui le surnommait le Stéphane Bern de Hamois et Joseph Clette qui l’a aidé à réaliser ses 2 premiers livres Saint Bérégise et les quatre oui de Bérégise. Pour les photos de son ouvrage, il remercie Michel Hébette, Pierre Dimmers et Michel Bourdeau. Un marque page où l’on peut lire quelques phrases de Willy Borsus notamment qu’il est doux et agréable de se laisser au fil des pages et au fil de l’eau est ajouté au livre.

    Pour obtenir l’ouvrage (au prix de 50 euros), il faut prendre contact avec l’auteur, Jules Delfosse, rue de Miécret, 4 à Hamois via le 083.61.17.71 ou le 0485.29.38.81 ou encore delfossejules@gmail.com

  • Les anciens de l’IMP se réunissent au Fontenau à Scoville

    Depuis 2013, quelques anciens et anciennes de l’IMP de Ciney, devenue depuis les Chemins d’Ariane se revoient de manière conviviale une fois par an. Après un repos forcé à cause de la pandémie, ils étaient une cinquantaine à se revoir à la Pépinière du Fontenau.

    Tout a commencé quand il y a 9 ans, un petit groupe de personnes ayant travaillé au Tienne à la Justice à l’IMP de Ciney, organise une première rencontre. Dans le groupe organisateur on retrouve Jacqueline, Madeleine, Rose, Bernard et Jacqueline, à la manœuvre. Les conditions pour organiser une rencontre annuelle sont fixées : il suffit d’être pensionné ou pré pensionné de l’IMP. Pour cette première retrouvaille conviviale, ils sont une petite vingtaine ! Pour ceux qui l’ignorent, les Chemins d'Ariane hébergent et accompagnent des personnes porteuses de handicap. Ils font partie des Instituts Médico-Sociaux (IMS) de Ciney.

    Les endroits de la rencontre annuelle ont changé : deux fois au Mont Blanc, une fois à Han-sur-Lesse avec une petite excursion, une fois à un resto chinois, … Le groupe s’est étoffé au fur et à mesure et tout le monde était plus qu’heureux de se revoir après 2 ans d’inactivité avec un nombre record d’inscrits ! Et dire, qu’une vingtaine ont dû s’excuser, pour cause de vacances (septembre est un mois idéal pour les pensionnés pour en profiter !). Comme chez Rose Fontenois, au sein de sa pépinière,  la place est suffisante pour un apéro à l’extérieur et un buffet froid à l’intérieur, l’endroit était idéal pour un partage de moments de convivialité !

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    Pour rejoindre le groupe, il suffit de se rendre sur Facebook et contacter Jacqueline Lahaut, Christine Michel-Pesesse ou Bernard Galet. Le bouche à l’oreille peut aussi être utilisé pour ceux et celles qui maîtrisent moins les réseaux sociaux.

  • 2 noces de diamant, 6 noces d’or, c’était la rentrée pour fêter les jubilaires à Ciney !

    Après une pause estivale, c’est le retour bimestriel de la ville de Ciney de fêter les couples pour leurs 50 ans, 60 ou plus en présence de leurs familles et du Collège communal dans la salle du conseil communal.

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    Après un petit mot concernant le décès de la Reine d’Angleterre, Frédéric Deville a d’emblée demandé que l’on lise le message de la Maison de sa majesté le Roi à l’adresse des 8 couples mais en une seule fois ! Ensuite, pour chaque couple, petite présentation par un des échevins, remariage par le bourgmestre, fleurs, pot de miel du rucher citoyen de la rue du Pondire et chèques cadeaux à chaque couple.

    DSC_0422.jpegAndré Pigeolet, né le 27 août 1940 à Ciney et Virginie Denis, née le 18 avril 1941 à Villers-sur-Lesse se sont mariés le 17 juillet 1962 à Villers-sur-Lesse. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Ils se sont rencontrés au bal à Wanlin. Si Virginie a travaillé toute sa carrière comme institutrice primaire à l'Athénée de Ciney, principalement en 5e et 6e, André a travaillé 12 ans à la Fonderie à Ciney et le reste de sa carrière à la CGER à Bruxelles. Ils habitent Ciney depuis leur mariage, ils ont une fille et deux petites-filles. Leur loisir principal : marcher dans les rues de Ciney pour garder la bonne forme ! Il y a quelques années, André avait aussi un élevage de canaris.  C'est lui aussi qui organisait, annuellement l'exposition ornithologique de Ciney, qui n'existe plus aujourd'hui.

     

    DSC_0424.jpegMichel Rouard, né le 6 octobre 1934 à Ciney a épousé Anne Burton, née le 5 juillet 1938 à Serinchamps le 1er août 1962 à Serinchamps. Ils fêtent donc leurs noces de diamant ! Michel est un vrai cinacien: depuis 1648, ces ancêtres sont nés, et décédés à Ciney !  Son grand-père, puis son père, avaient une petite fabrique de tabac juste en face de l'Hôtel de Ville : là où se trouve aujourd'hui le Reptilmag. Il a travaillé toute sa carrière comme instituteur, puis comme Directeur de l'enseignement fondamental à l'Institut Saint Joseph de Ciney. Son épouse s'est occupée du ménage et des enfants ce qui, avec une telle famille, est un vrai gros boulot ! Ils ont 4 enfants, 10 petits-enfants et un arrière-petits-enfants. Ils se sont connus lors d'un bal des étudiants de Louvain à la salle communale à Ciney.

     

    DSC_0425.jpegJosé Novo Gomez, né le 26 novembre 1947 à Ortigueira (Espagne) et Rose Wouters, née le 24 juillet 1953 à Namur se sont mariés le 20 mai 1972 à Ciney. José est arrivé à Ciney en 1965 pour travailler chez Ronveaux où il a fait toute sa carrière. Rose, cinacienne, travaillait à l'Office des Chèques Postaux où elle a fait aussi toute sa carrière. Ils se sont rencontrés, et ce n'est pas original pour l'époque, dans un dancing. Ils ont un fils et deux petites-filles. Maintenant qu'ils sont pensionnés, ils profitent tranquillement de leur temps libre.

     

    DSC_0426.jpegMichel Mabille, né le 23 octobre 1952 à Dorinne et Flore Fontinois, née le 30 mai 1948 à Braibant ont convolé en justes noces le 14 juillet 1972 à Braibant. Ils se sont rencontrés aux sources de Spontin où ils travaillaient tous les deux. Depuis leur mariage, ils ont toujours habité Braibant où un de leurs voisins était, à l'époque, Frédéric Deville ! Flore a travaillé au Sources de Spontin jusqu'à la naissance de son 4e enfant, tandis que Michel, après s'être engagé 2 ans à l'armée, a travaillé à l'EPC, d'abord comme menuisier, puis comme chauffeur. Il a ensuite travaillé pour TTS qui a repris le service transport de l'EPC et il y a terminé sa carrière. Ils ont 4 enfants et 11 petits enfants.

     

    DSC_0427.jpegC’est le 19 juillet 1972 à Namur  que René Michel, né le 17 février 1949 à Braibant et Alice Vankoningslo née le 24 août 1952 à Auvelais se sont mariés. René a fait son service militaire à Düren, en Allemagne avec un jeune de son âge qui habitait Auvelais. Ils sont devenus amis et se sont revus en Belgique.  Cet ami avait une sœur, qui n'est autre qu’Alice ! Ils habitent Ciney depuis leur mariage.

    René a travaillé d’abord à la Laiterie, puis aux Forges de Ciney et enfin, et pour l'essentiel de sa carrière, à la commune comme menuisier et à l'occasion, comme fossoyeur. Alice a travaillé 30 ans comme technicienne de surface à l'Athénée de Ciney. Ils ont un fils.

     

    DSC_0429.jpegJean-Jacques Etienne, né le 24 janvier 1947 à Bastogne et Rose-Marie Camus, née le 21 juillet 1946 à Emptinne se sont mariés à Emptinne le 19 juillet 1972. Ils se sont rencontrés à l'Institut Saint Joseph de Ciney. Rose-Marie a fait toutes ses études à l'Institut de la Providence et est devenue régente ménagère agricole.  Elle a enseigné jusqu'à sa pension.

    Jean-Jacques a fait ses études secondaires aux Arts et Métiers et, ensuite, un régendat en électromécanique. Il est entré ensuite à l'Institut Saint-Joseph de Ciney jusqu'à sa pension. Il enseignait tous les cours techniques en professionnel, en qualification et en transition. Ils ont une fille.

     

    DSC_0430.jpegJean-Pierre Daoust, né le 17 mai 1951 à Serinchamps a épousé Élisabeth Herman, née le 7 octobre 1950  à Achêne le 20 juillet 1972 à Serinchamps. Jean-Pierre est né et a vécu son enfance à la ferme, à Haversin. Ces parents ont ensuite remis la ferme aux parents d’Élisabeth qui venaient de Liroux. Et la rencontre s'est faite comme ça, simplement et par hasard. Ils habitent toujours Haversin. Leurs deux enfants leur ont maintenant donné 8 petits-enfants : 7 filles et, enfin, un garçon !

    Jean-Pierre a fait toute sa carrière à la Poste, un peu au guichet à Ciney, puis à Bruxelles, au compte-chèques puis à la douane postale tandis que son épouse a travaillé 30 ans à la Justice de Paix de Ciney. Jean-Pierre a géré pendant quelques années un portefeuille d'assurances, chez HMI. Il est maintenant malvoyant et a dû mettre fin à une bonne partie de ses activités.

     

    DSC_0431.jpegC’est le 29 juillet 1972 à Neufmaison que Pierre Robin, né le 28 novembre 1949 à Herchies et Yvette Balaince, née le 24 mars 1948 à Watermael-Boitsfort se sont mariés. Ils se sont rencontrés lors d'une soirée dans un dancing comme il en existait tant dans les années 70 : avec un copain, Pierre avait décidé d'inviter à danser les jumelles.  Dans ce cas, l'histoire s'est terminée par un mariage. Après leur mariage, ils ont habité Bruxelles et sa périphérie avant d'acquérir une seconde résidence et, enfin, s'établir complètement à Haid.

    Pierre est ingénieur chimiste. Après son service militaire qu'il a effectué dans un laboratoire de recherche à l'École Royale Militaire, il a travaillé pour la société Eternit où il a été principalement chargé du remplacement de l'amiante dans le monde entier. En parallèle, il a travaillé dans le monde de la finance et travaille toujours actuellement dans un petit groupe qu'il a créé il y a une vingtaine d'années. Infirmière, Yvette a passé l'essentiel de sa carrière dans le service de transplantation rénale de l'Hôpital Érasme. Ils ont 3 filles et 5 petits enfants.