L’augmentation constante de la population scolaire de l’Institut Saint Joseph a sans cesse provoqué l’apparition de nouveaux bâtiments. Cette fois, ce sont deux nouvelles ailes des bâtiments Jacquard et Gramme et d’un bloc sanitaire qui ont été inaugurés.

C’est en présence de nombreux anciens élèves et enseignants que s’est déroulée la partie académique de l’événement. Pour les deux directeurs de l’enseignement général et technique, « il y a plus de 8 ans lorsque sont apparus les besoins nouveaux en espace et lieux de vie, et qu’était envisagée la construction d’un préau sur la cour du premier degré, l’institut comptait environ 1.450 élèves. Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 1.820 jeunes qui fréquentent notre institution. L’institut a toujours su cultiver un caractère avant-gardiste qui fait sa marque de fabrique. Là où la génération précédente a initié des projets comme l’Eurodyssée, celle d’aujourd’hui a pu déployer des dispositifs de soutien ou des moyens numériques qui auront permis d’amortir le choc de la crise sanitaire. »

Après Béjart, Darwin, Archimède, Europe, Icare, les espaces classes se sont avérés insuffisants. 8 nouvelles classes sur deux niveaux et des toilettes sont accolés au bâtiment Jacquard depuis 3 ans. Une nouvelle aile du bâtiment Jacquard a été mise en service avec 4 locaux de classe, un espace éducateur et un remodelage de l’espace bureau. Ces constructions ont été complétées par un pavillon moderne de sanitaires sur l’espace Newton pour pallier au déficit de toilettes filles et garçons. Avant la partie plus festive et la découverte des nouveaux locaux, le doyen de Ciney, Pascal-Marie Jerumanis a procédé à la bénédiction des bâtiments. Auparavant, Franz Delieux, Jean-Louis Volvert, Daniel Job et Dany Latour ont été mis à l’honneur pour tout ce qu’ils ont fait pour St Jo.

Un livre des 175 ans de la génération Saint Jo

Pendant les 175 jours qui ont précédé la célébration le 20 septembre 2019 du 175^e anniversaire de l’école lasalienne, un témoignage d’ancien a été publié sur la page Facebook de la Générations St Jo et sur la page web du secondaire de l’institut. La parole avait été donné à 175 rhétoriciens et de terminales, filles et garçons, sur les 7.000 titulaires du Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur de 1952 à aujourd’hui. Une brochure papier de plus de 200 pages, réalisée par deux anciens directeurs Daniel Job et Jean-Louis Volvert reprend les 175 témoignages, un historique de l’école rédigé par Franz Delieux, des articles sur les bâtiments de 1953 à 1963, sur l’internat et sur la valeur du projet éducatif et pédagogique de l’école lasalienne. Pour se procurer la brochure, il suffit de verser 10 euros +5,35 de frais d’envoi au compte BE02 7320 2939 9640 au nom de l’ESCC avec comme mention : fascicule, nom, prénom et adresse. La version numérique est téléchargeable sur le site de Génération St Jo et celui de l’école sous l’onglet 175è.

Guy Colson, architecte depuis de nombreuses années des constructions à Saint Jo a remercié le P.O. de leur collaboration sincère et entière qui, au fil des ans, s’est muée en amitié, de la liberté d’expression qui lui a été accordée et de leur diplomatie et du soutien indéfectible apportés dans des situations parfois pénibles.

Le Collège de la ville de Ciney a invité pour la 6^e  et dernière fois, des couples jubilaires pour les fêter en présence de leur famille dans la salle du conseil communal. Comme pour les deux dernières soirées, le masque était obligatoire, sauf au moment où un verre a été offert. Pour chacun des 7 couples, même cérémonial, un court C.V. lu par un échevin, remariage par le bourgmestre, lecture du message royal, fleurs, chèque commerces remis aux jubilaires ainsi qu’un pot de miel issu du rucher citoyen.

Michel Dawagne né le 18 mars 1936 à Wancennes et Claire Lenoir née le 21 juillet 1938 à Patignies se sont mariés le 20 décembre 1961 à Patignies. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Michel fit connaissance avec sa future épouse grâce à son frère qu’il rencontra lors de son service militaire. A son retour, il travaillera à Verlée dans un atelier de machines agricoles et transport d’animaux. En 1968 la petite famille s’installera à Corbion, Michel sera indépendant en machines agricoles ensuite construction métallique. Claire abandonnera sa fonction d’indépendante pour s’occuper de leurs 6 enfants. A ce jour ils ont 9 petits-enfants.

Robert Jacques né le 8 août 1943 à Rognée épousa Claudine De Bom née le 4 avril 1943 à Châtelet le 20 décembre 1961 à Cour-sur-Heure. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Ils se sont connus sur les bancs de l'École Moyenne de Walcourt. Robert, instituteur primaire et diplômé de l'Ecole Supérieure de Pédagogie de Namur, a enseigné à l'école communale de Leignon de 1964 à 1980, date à laquelle il a été nommé directeur des écoles de Leignon, Haversin, Pessoux et Chevetogne. Claudine, après ses études secondaires au Lycée de Charleroi, a élevé ses 3 enfants puis a travaillé pendant 30 ans au C&A de Namur comme chef de département. Ils ont 3 enfants, 7 petits-enfants et 8 arrière-petits-enfants. Robert  aime le cyclisme, il a d'ailleurs été Président du Royal Club Leignon Cycliste et la balle pelote dont il a également été Président de la Jeunesse Sportive Leignon Pelote. 

Robert Léonard né le 3 janvier 1947 à Sohier et Marie- Claire Pierlot née le 3 mars 1948 à Vivy se sont mariés le 22 août 1970 à Wellin. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Marie-Claire a travaillé à l'EPC, au service informatique, pendant 30 ans et a été prise dans la grande lessive de cette société en 1996. Robert a fait toute sa carrière à la Poste.  Il a commencé à Bruxelles pour terminer à Havelange en tant que guichetier. Ils ont deux enfants et trois petits-enfants.

Salomon Ifergan né le 4 mars 1945 à Inezgane (Maroc) a épousé Francine Lemaire née le 23 avril 1948 à Charleroi le 20 mars 1971 à Charleroi. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Le père de Salomon était directeur d'école à Inezgane avant d'être transféré à Agadir. Peu de temps après, se produisit le terrible tremblement de terre dont il resta le seul survivant. Grâce à la RTBF, il est arrivé en Belgique, dans une famille d'opticiens (Deprez) à Marchiennes.  Ce dernier communiqua le virus des opticiens à toute la famille. Il quitta donc les djebels africaines  pour arriver dans les terrils marchiennois où il rencontra Francine. De leur union sont nées 3 petites filles et leur vie de nomades commença : Châtelineau, Granrieu, Fleurus, Boignée, Fleurus, Charleroi, Gembloux et, enfin, Ciney.

Bernard Lurkin né le 4 juin 1949 à Thynes et Bernadette Dachelet née le 12 janvier 1951 à Thynes se sont mariés le 5 juin 1971 à Thynes. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Le couple habite Ciney depuis 2018. Bernard était employé de banque et Bernadette femme au foyer. Ils ont un fils et une fille.

Guy Malcorps né le 28 avril 1949 à Erneuville a épousé  Madeleine Sacré née le 5 février 1945 à Sinsin le 5 février 1945 à Sinsin. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Ils se sont connus au dancing la Lanterne à Hollogne près de Marche-en-Famenne. Ils ont un fils et deux petits-fils. Guy  a travaillé comme étudiant à l'EPC et chez Ronveaux.  Après son service militaire, il a travaillé une bonne année aux forges avant d'entrer à la SNCB d'abord comme mécanicien, quelques mois à Ronet puis 5 ans à Salzinnes et, enfin, à Bruxelles au service d'assurance qualité pour la fabrication du matériel roulant, ce qui l'a amené à beaucoup voyager à travers l'Europe. Il a aussi été musicien amateur : 35 ans en fanfares et près de 35 ans en chorale. Madeleine a toujours pris grand soin de ses hommes : son père, son mari, son fils, ses petits-fils.

Francis Fokan, né le 27 juillet 1950 à Ciney et Claudine Hautot, née le 14 septembre 1949 à Namur se sont mariés le 20 août 1971 à Ciney. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Francis a travaillé chez Bastin puis chez Proximus. A l'âge de 50 ans, victime d'un grave accident de la route le laissant paraplégique, il reprend son ancien job d'ingénieur informaticien et ce jusqu'à l'âge de la retraite. Claudine, après avoir arrêté son activité de laborantine pour se consacrer à l'éducation de ses enfants, rejoint le monde du travail en tant qu'assistante parlementaire chez la Sénatrice Cornet d'Elzius.  Ensuite, elle met sur pied un groupe d'alphabétisation pour la commune de Ciney. Depuis leur pension, ils se consacrent à leurs petits-enfants et à diverses activités bénévoles (Croix-Rouge, CAL, Aidants proches) et font partie de divers groupes d'entraide.

Le Collège de la ville de Ciney a invité pour la 5^e fois, des couples jubilaires pour les fêter en présence de leur famille dans la salle du conseil communal. Comme lundi dernier, le masque était obligatoire, sauf au moment où un verre a été offert. Pour chacun des 8 couples, même cérémonial, un court C.V. lu par un échevin, remariage par le bourgmestre, lecture du message royal, fleurs, chèque commerces remis aux jubilaires ainsi qu’un pot de miel issu du rucher citoyen.

Michel Dujeux, né le 31 mars 1935 à Purnode a épousé Justine Wuidart née le 28 septembre 1933 à Champlon le 28 juin 1961 à Conneux. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Michel était boulanger chez Evrard et ils se sont rencontrés pendant ses tournées de pains. Après leur mariage, Justine était mère au foyer et Michel a continué à travailler pour la boulangerie Evrard avant de reprendre l'établissement à eux deux.  Ils y sont restés pendant 30 ans. Ils ont 4 enfants, 8 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants.

Emile Galloy, né le 9 juillet 1939 à Waha et Christiane Laurent, née le 11 mai 1942 à Hodister ont convolé en justes noces le 15 juillet 1961 à Waha. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Après leur mariage, Emile a élevé ses enfants. Emile a fait toute sa carrière à l'EPC. Ils ont 2 fils, 1 fille, 3 petites-filles, 2 petits-fils, 1 arrière-petit-fils et 1 arrière-petite-fille.

Luc Roy né le 25 juin 1936 à Orchimont et Marie-Thérèse Petit, née le 13 juin 1940 à Conquies-sur-Orbiel (France) se sont mariés le 17 novembre 1961 à Monceau-en-Ardenne. Ils fêtent donc leurs noces de diamant. Ils se sont rencontrés et mariés à Monceau-en-Ardenne. Ils ont eu 4 enfants, 6 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants.Luc a travaillé comme facteur pendant toute sa carrière, il a commencé à Vresse-sur-Semois, puis à Beauraing pour terminer à Ciney. Pendant ce temps, son épouse restait au foyer et s'occupait de ses enfants et petits-enfants, pour leur plus grand bonheur.

Jean Lizen né le 3 août 1948 à Ciney a épousé Monique Brack née le 9 août 1949 à Pessoux le 22 août 1970 à Pessoux. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Poursuivant tous les deux leurs études supérieures à Bruxelles, ils s’y sont rencontrés plus précisément lors d’une soirée organisée à « l’Os à moelle » avec l’orchestre les Carlton’s, groupe cinacien bien connu à l’époque. A cette occasion et, pour l’anecdote, Monique a eu sa première cuite au Pale Ale et Jean, le bon samaritain, est venu à son secours… Le couple a eu 3 enfants et 4 petits-enfants. Après des études d’ingénieur industriel pour lui et de secrétariat de direction pour elle, et quelques années de vie à Bruxelles, ils sont revenus vivre à Pessoux pendant 46 ans. Ils ont fait carrière tous les deux dans l’enseignement; Jean a été professeur d’électronique à l’ITN Namur et Monique a enseigné la dactylographie dans plusieurs écoles de Ciney et de la région. Le couple Lizen-Brack a quitté au printemps 2020 le village de Pessoux pour s’installer en appartement à Ciney dans le quartier du Sainfoin.

André Colette né le 16 janvier 1949 à Bonsin et Monique Anciaux née le 16 juin 1950 à Namur se sont mariés le 16 avril 1971 à Ciney. Ils fêtent donc leurs noces d’or. André COLLETTE a travaillé 35 ans au TEC à Namur.  Il effectuait la ligne de bus 126, celle qui a remplacé la Micheline Ciney-Huy Nord jusqu'à sa retraite anticipée suite à des problèmes de santé. Monique a fréquenté l'Athénée royal de Ciney (avec Monsieur Milcamps) et a ensuite été employée au dépôt pharmacie de l'EPC jusqu'à sa retraite.

Ensemble, ils s'occupent depuis 42 ans de l'asbl Karting Club Condroz. Ils ont 2 filles et sont grands-parents de jumeaux.

Michel Lauwers né le 31 août 1949 à Rochefort a épousé le 13 juillet 1971 à Serinchamps, Andrée Lambeaux née le 26 juin 1952 à Buissonville. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Ils se sont rencontrés lors d'un bal de la JAP. Ils ont 2 enfants et 6 petits-enfants. Michel a travaillé toute sa carrière comme surveillant de travaux à la Régie des Routes de Ciney où Andrée la rejoint par la suite comme technicienne de surface.

Michel Barbeaux né le 6 décembre 1947 à Ciney et Rose Jacques née le 15 avril 1946 à Namur se sont mariés 28 août 1971 à Obaix. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Rose est l'arrière-petite-fille du fondateur de la chocolaterie Jacques. Ils se sont rencontrés pendant leurs études à Leuven. Ils ont eu 4 enfants et ont actuellement 6 petits-enfants.

Rose est infirmière professeur.  Elle a travaillé dans les soins à domicile puis a enseigné à l'Institut de la Providence de Ciney.  C'est aussi une artiste en décoration florale et en céramique.  Elle s'est formée à la céramique avec Antonio Lampecco à Maredsous.

Michel a d'abord été assistant en économie à l'université de Louvain avant d'y enseigner les finances publiques pendant 40 ans.

Il a fait l'essentiel de sa carrière en politique: chef de Cabinet adjoint des Premiers Ministres Martens et Dehaene, député wallon, sénateur puis échevin, notamment des finances, de notre commune.  Il est aussi inspecteur général des finances honoraire. Sur la plan associatif, il a présidé une série d'associations dans les domaines scolaire, de la formation de jeunes sans emploi, de l'aide à la jeunesse, de la santé, notamment aux cliniques universitaires de Mont-Godinne et à la Mutualité chrétienne de la Province de Namur. Il est toujours actif au sein de la mutualité et du CHU UCL Namur.

Léon Marchal né le 24 janvier 1950 à Hatrival a épousé Bernadette Adam née le 11 mars 1948 à Rienne le 20 novembre 1971 à Rienne. Ils fêtent donc leurs noces d’or. Léon été chef d’ateliers à St Quentin à Ciney. Son épouse a été employée au Centre de Sélection Bovine à Ciney. Ils ont une fille célibataire.