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Dinant - Page 3

  • 8 lauréats pour la cérémonie des trophées des mérites culturels et sportifs qui s’est déroulée à Schaltin

    Après 2 années sans remises dû au Covid, la cérémonie des trophées des mérites culturels et sportifs pour la saison 2021-2022 s’est déroulée en l’église Saint-Remacle en présence des autorités communales et des forces vives culturelles et sportives de la commune.

    En tant que maître de la cérémonie, Pierre-Henri Roland, premier échevin, a d’abord remercié la Fabrique d’église de l’église Saint-Remacle ainsi que l’Abbé Jean Urbain pour leur autorisation d’utiliser cet édifice construit en 1850 dans un style néo-classique. Il a rappelé que la commune de Hamois a une tendance à utiliser davantage les biens dédiés au culte pour des actions culturelles telle que celle tenue ce soir. Chaque présentation d’un trophée par un membre du conseil communal présent était entrecoupée d’une chanson de circonstance interprétée par la Chorale paroissiale Saint-Remacle de Schaltin.

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    Trophées sportifs

    L’échevin a rappelé que Hamois est labélisé 3 étoiles au niveau de l’Adeps jusqu’en 2023 suite à un dossier de candidature rentré comme commune sportive et ce, grâce à toute une série d’actions menées par la RCA en matière d’activités sportives grâce au RAVEL, aux sentiers de promenades, aux locations VTT ainsi qu’aux différentes collaborations entre la RCA et les associations aidants les plus fragilisés.

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    Le premier trophée sportif individuel a été remis à Barnabé Chilliade qui a commencé l’athlétisme en 2016 à l’âge de 7 ans. Assez rapidement, on a remarqué qu’il se débrouillait plutôt bien en demi-fond et en lancers. Sa première victoire en cross, il l’a décrochée en 2019 à Gesves. Lors de cette saison, il a réussi à accrocher la 15e place lors des championnats de Belgique de cross. A la sortie du Covid, Barnabé a pris une autre dimension. Le déclic s’est produit lors de la manche de la Cross Cup de Roulers qui rassemble chaque année l’élite belge du cross. Il a pris la 3e place dans des conditions dantesques. Dans la foulée, il est devenu champion provincial, champion francophone et enfin champion de Belgique toujours en cross ! En été, il a poursuivi sur sa lancée. Il a couru huit 1000m et il en a remporté 7 en signant 5 fois un chrono sous les 3’. Sur cette distance, il a réalisé la meilleure performance belge de l’année dans sa catégorie (2’51’’21) et a obtenu le titre de champion de Belgique. Barnabé a aussi prouvé qu’il pouvait être polyvalent en décrochant la médaille d’argent francophone sur le pentathlon (80m – hauteur – poids – disque – 1000m). La saison de cross a déjà bien commencé avec 2 victoires (Ciney et Gesves) et une 3e place lors de relais Cross Cup de Berlare.

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    Un deuxième trophée sportif individuel a été remis à Jonah Lefebure, 15 ans, qui pratique la gymnastique depuis l’âge de 2 ans. Tout petit, il adorait aller dans la salle d’entrainement avec son papa qui entraîne la section garçon depuis de nombreuses années. Au fur et à mesure des années, il est passé de 4 puis 6 et 8h/semaine pour s’entrainer aujourd’hui 12h par semaine ! Dès le plus jeune âge, Jonah s’est découvert une envie de progresser malgré l’exigence de cette discipline et a surtout trouvé un réel équilibre de vie en jonglant les heures d’entrainement avec l’école. Le confinement a été pour lui une période très difficile puisqu’il n’a plus eu accès à la salle d’entrainement pendant de longs mois. Malgré ces restrictions, il a continué à s’entrainer à la maison avec un programme adapté et est parvenu à atteindre son meilleur niveau en 2022. Année inédite pour lui car il termine la saison champion de Belgique. Sa détermination, son investissement et sa motivation ont permis à Jonah de se rendre compte qu’il était encore aujourd’hui en pleine progression et que l’envie de se dépasser était encore plus forte.

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    Le 3e trophée sportif individuel a été remis à la basketteuse Émeline Clabodts. Âgée de 16 ans, elle joue au RCS NATOYE depuis la saison 18-19 ainsi que sa sœur et trois frères. Elle a participé la saison dernière avec son équipe de U16 filles à Natoye au championnat national lors de la 2e partie du championnat suite à leur classement de la 2e place en U16 filles régionales. Lors de ce championnat, national, elle fût remarquée par un sélectionneur national et a été invitée à participer aux différents entraînements pour la sélection nationale U16 cats. Elle a été reprise et a participé cet été dernier au Festival Olympique de la Jeunesse Européenne avec une 4e place sur 8 ainsi qu’au championnat Européen féminin U16 filles au Portugal et atteint les 1/4 de finale. Elle joue actuellement au sein du club en équipe de jeunes U17 régionale et est également dans le noyau de la R2 dames régionales.

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    Le trophée sportif collectif a été remis à l’équipe des U19 du RCS Natoye. Les filles ont remporté le championnat provincial U19  2021-2022. Elles continuent leur formation et jouent actuellement en P2 dames dans le championnat actuel. Coachée par Martin Rappe, l’équipe se compose d’Inés et Florine Bernard, Emma et Pauline Brunin, Madeline Burton, Juliette Denée, Morgane Dochain, Zoé Eloy, Eléonore Gilain, Manon Goffin, Inés Laffut, Donacienne Quoirin et Pauline Scaillet.

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    Le trophée sportif d’honneur a été remis à Mariette Missart. Visage bien connu dans le village de Natoye pour son investissement au sein du RFC Natoye, elle est appréciée dans le monde du football mais également pour la tenue du café des sports de Natoye. Officiellement affiliée depuis le 19 novembre 1985, elle y est active depuis bien plus longtemps. Âgée aujourd’hui de 84 ans, épouse du regretté président, Oger Compère, elle est toujours en alerte et dévouée pour le Club de son cœur. Mariette est toujours aux petits soins pour les joueurs du club, pour l’entretien des équipements des joueurs, elle est tenancière au comptoir et elle se charge également des commandes boissons. Inséparable avec sa sœur Arlette au bord du terrain, on les surnomme les Missart Sisters, l’une étant plus calme que l’autre.

    Trophées culturels

    Hamois est reconnu pour le sport mais également pour la culture grâce aux acteurs privés: petit clin d’œil à la maison de la mémoire qui au quotidien, travaille sur le passé des villages et des coutumes de la commune pour les retranscrire par le biais d’exposition en encore dans le cadre d’éditions papiers destinées à des thématiques particulières. L’expo Figures de notre histoire est toujours visible jusqu’au 29/01/2023 dans les 7 villages de l’entité, dans ce cadre, des calades contées sont organisées sur inscription : à 14h, le 21/12 à Hamois, le 11/01 à Natoye, le 25/01 à Emptinne. Autre action à venir, un Concours Photo de la commune de Hamois. Appel aux photographes amateurs ou professionnels. Les inscriptions sont acceptées jusqu’au 9/01/2023 à 23h59 maximum et le règlement est disponible sur hamois.be. La culture est également liée au petit patrimoine, veuillez déjà noté le 28 avril 2023 dans votre agenda pour l’inauguration de la plateforme Bibliotheca, celle-ci sera destinée à une bibliothèque virtuelle sur le patrimoine historique local.

    Pierre-Henri Roland en profite pour un appel: « si vous avez chez vous, dans votre famille, chez vos voisins, parfois oubliés au fond de greniers ou caves, des vieilles photos, des cartes postales, des documents relatifs à la vie de nos villages, ne jetez surtout rien ! Confiez-les nous ! »

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    Le trophée culturel individuel a été remis à Jean-Marie Nicolay. Amoureux de son village de Hamois depuis tout petit, il s’est impliqué et s’implique encore dans son secteur associatif. Tout jeune, il jouait de la petite caisse au sein de la Fanfare de Hamois, devenue Royale aujourd’hui. Dans ce cadre, il se souviendra de sa présence lors des Marches Folkloriques en présence de majorettes ! On ne comptabilisera pas ses heures consacrées à la salle de la fanfare, on peut dire que s’est son bébé. Actuellement, il en est toujours trésorier. Il aura présidé également le Patro de Hamois et accompagné les jeunes durant de nombreuses années. Une de ses passions est la collection d’objets religieux, ce n’est pas rien qu’il a ouvert son propre musée avec toute sa collection, il est d’ailleurs toujours le grand enfant de cœur à l’église, en prêtant main forte à Monsieur le Curé ou encore en prenant place au sein de la chorale paroissiale St Pierre de Hamois dont il fait partie depuis plusieurs années aussi.

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    Le trophée culturel collectif a été remis à la Spirale. Dans la commune, comme ailleurs la culture est souvent associée avec le tourisme. Avant les années 90, seule une commission communale de la culture existait à Hamois jusqu’à la création de l’ASBL La spirale. Le circuit touristique du Haut Bocq ainsi que le 1er marché de Noël qui fut longtemps organisé dans le hall omnisport de l’école de Hamois virent alors le jour en 1991. C’est en 1995 que le projet Tourisme-Culture-Patrimoine et découverte, nommé Pauléa du nom latin du Bocq est concrétisé. Ce projet  permet au public de rencontrer artistes et artisans de notre entité par le biais d’expositions thématiques ou de rencontres en atelier tout en découvrant le patrimoine bâti et naturel de nos 7 villages. La Spirale est abrité au départ dans les locaux de l’office communal de l’OCTC rue d’Hubinne à Hamois aujourd’hui office communal de la culture et de l’enfance et bientôt maison rurale. Il faudra attendre 2003 pour que la Spirale devienne propriétaire de ses propres murs grâce à l’appui notamment de la Région wallonne et de la Fédération Wallonie Bruxelles. Un bâtiment de ferme situé à Natoye est transformé avec la volonté de mettre en valeur ce patrimoine rural en vue d’en faire un endroit de production, mais aussi un espace d’expositions et un lieu d’initiation artistique et de découverte des métiers d’art. C’est finalement en 2013 que le Centre des métiers d’art tel qu’imaginé en 1997 est inauguré favorisant contacts et partenariats. C’est également dans ce décor que prennent place le marché de Noël artisanal le plus important de la région wallonne et les sculptures de feu qui attirent un nombreux public. De nombreuses activités s’y déroulent durant l’année indépendamment des stages et expositions : piano bar, « cuisine du monde », Repair café, rencontre d’artistes, … Diverses balades dont sentiers d’art sont aussi accessibles au départ de la Spirale. Reconnue comme Centre d’éducation permanente par la Communauté française en 2000, et Organisme touristique par le commissariat général au tourisme RW en 2003, la Spirale s’investit dans des projets divers notamment dans les écoles. Le trophée a été remis à son Président Jacques Warnier et son Directeur, Yves Watterman qui fût par ailleurs le premier président de l’ASBL.

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    Le trophée culturel d’honneur a été remis à la Confrérie de la Gatte d’or. Son histoire débute le 21 janvier 1998. Sa promotion est réalisée par le biais de spécialités gastronomiques, inhérentes à son histoire et à sa légende. Elle peut être Blonde ou Ambrée, elle est adepte du pâté de campagne ou encore du fromage frais de chèvre. La confrérie est présente dans les événements communaux, qu’ils soient patriotiques, culturels, sportifs ou touristiques et organise depuis plus de 20 ans sa ronde des saveurs qui permet chaque année de rassembler un millier de visiteurs, une belle promotion touristique pour la région.

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    Après la traditionnelle photo de tous les lauréats, place au moment de convivialité offert par l’administration communale où chacun a pu déguster des produits de bouche et de saison des producteurs de la commune servis par les membres de la Confrérie de la Gatte d’or.

  • 31e prix de la personnalité Richelieu au Cinacien Jean Germain, une première pour Dinant

    Alors qu’il était désigné personnalité 2019 des clubs Richelieu de Belgique et du Grand-Duché, il a fallu 4 tentatives dont les premières devaient se dérouler à la citadelle, sur les traces de Vauban, contemporain de Richelieu pour enfin fêter Jean Germain au Prieuré d’Anseremme.

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    DSC_0047.jpegAprès des grammairiens comme Joseph Hanse ou André Goose, des linguistes comme Jean-Marie Klinkenberg, présent, des illustrateurs comme René Hausman et Marcel Marier, des artistes comme Julos Beaucarne, Bernard Tirtiaux ou des personnalités comme Jacques Mercier et Bruno Coppens, des écrivains comme Henri Vernes et Armel Job, tous les 2 ans, la personnalité Richelieu est attribuée par l’ensemble des clubs des régions Belgique-Luxembourg du Richelieu International Europe.

    Près d’une centaine de personnes étaient réunies en cette semaine de la francophonie au Prieuré d’Anseremme avec la chorale des Joyeux Quarteniers comme intermède musical. Ceux-ci ont d’ailleurs terminé leur première partie en interprétant la langue de chez nous d’Yves Duteil !

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    Comme l’a rappelé Jacqueline Focant, présidente du Club Richelieu de Dinant, « Enfin, nous sommes réunis pour fêter le 31e prix Richelieu et notre club est fier que son dossier de candidature en faveur de Jean Germain ait été retenu. Ensemble, nous partageons l’amour du français dans la paix et la fraternité. Ayons donc une pensée aux populations proche de l’Europe qui souffrent actuellement ! Nous sommes un peu comme les mousquetaires de la langue française. Nos clubs ont pour mission de défendre et de promouvoir de la langue française et d’être au service de la jeunesse par des actions de type sociale, éducatif, culturel et humanitaire (parrainages d’élèves au Vietnam, Cambodge, Haïti et Sénégal, festival de théâtre francophone en France et Roumanie, …). Nous sommes en quelque sorte un trait d’union entre tous les francophones. « 

    DSC_0049.jpegPlusieurs personnes se sont ensuite succédées au micro : Annie Liétart, l’actuelle coordinatrice des clubs franco-belge, Michèle Quain, l’ancienne coordinatrice qui a présenté Jean Germain à sa table, Jean-Marie Klinkenberg, lauréat 1998 qui a décrit Jean Germain comme anthropologue, passeur et homme d’action, Patrick Evrard, un ami de Jean qui a appris l’origine du nom des rues lors de leurs promenades et enfin, Françoise Bal, l’épouse de Jean Germain qui a relayé les témoignages de nombreuses personnes qui collaborent avec son mari au dictionnaire Patromanica Romanica qui étudie les noms de famille romane à partir du latin dans 7 pays.

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    Un peu plus sur Jean Germain

    Jean Germain, amoureux des noms propres, qu’ils soient de lieu ou de famille, qu'ils soient wallons ou français, est né à Spontin (dans la vallée du Bocq). Depuis 1976, il habite le petit hameau de Vincon (commune de Ciney), proche de son village natal où il reste très actif.

    Il y coule des jours heureux aux côtés de Françoise, son épouse, fille du regretté Willy Bal, qui a été durant près d’un demi-siècle, membre de l'Académie royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique et de la Société de Langue et de Littérature wallonnes.

    Après avoir obtenu son diplôme de Licence en philologie romane à l'UCL en 1971, à l'époque du Wallenbuiten et sous la direction d'André Goosse, il rejoint directement l'Université de Louvain, comme bibliothécaire et comme chercheur, à Louvain d'abord, à Louvain-la-Neuve ensuite.

    En 1987, l'UCL qu'il ne quittera pas jusqu'à sa retraite en 2009, lui accorde l'assimilation au doctorat en philosophie et lettres sur la base de son activité scientifique et de ses nombreuses publications.

    Directeur de la Bibliothèque générale et de sciences humaines à Louvain-la-Neuve jusqu'en 2009, il est aussi Co-directeur d’un projet européen étudiant l’origine et l’histoire linguistique des noms de famille français, espagnols, italiens…, secrétaire depuis 1984 de la section wallonne de la Commission royale de Toponymie et de Dialectologie, membre depuis 1983 de la Société de langue et de littérature wallonnes à Liège et Président d'honneur des Rèlîs Namurwès,

    Jean Germain est particulièrement connu comme spécialiste de l’étude du wallon namurois, de l’étude des noms de lieu ou toponymes de Wallonie, de l’étude des noms de famille en Belgique et en France et de l'étude de la littérature wallonne, quatre matières qu’il enseigna à l’UCL de 1998 à 2010 au sein du département d’études romanes. Depuis plus de 40 ans, cet observateur insatiable et analyste curieux ne cesse de scruter aussi notre langue française, si belle mais parfois si compliquée, notamment dans sa composante régionale. Aujourd’hui, on ne compte plus les publications de Jean Germain; il est en effet l'auteur de nombreuses études en toponymie, en onomastique personnelle et en dialectologie wallonne.

    Il a entre autres constitué, avec Jules Herbillon, un Dictionnaire des Noms de Famille en Belgique romane qui a connu deux éditions, toutes les deux épuisées et presque introuvables en antiquariat.

    Et, s’il faut bien avouer que certains titres paraissent pour le moins … énigmatiques, il faut également reconnaître que cet érudit sait aussi se mettre à la portée de tous pour faire partager son amour des mots et des noms lors de ses nombreuses conférences : si vous avez un jour rêvé de connaître l’origine de votre nom de famille ou sa diffusion, si vous êtes curieux de l’origine du nom de votre village, si vous envisagez d’étonner vos amis et connaissances par votre maîtrise des gentilés (noms donnés aux habitants d’une localité ou d’une région) … alors Jean Germain sera votre référence !

    Membre de plusieurs sociétés ou comités tant belges qu’internationaux, Jean Germain a été distingué à plusieurs reprises, entre autres avec le titre de Namurois de l'année en 2009 dans la catégorie « Patrimoine ». Au début de l’année 2019, c’est la Société française d’Onomastique qui, ainsi que l’a rappelé plus haut la Présidente de la Coordination, l’honore en octroyant, pour la première fois, le Prix Dauzat à un Belge.

     

    DSC_0055.jpegAvant de recevoir son diplôme et une œuvre d’art sous la forme d’un livre en pierre bleue sculptée par Guy Deltour, Jean Germain a rappelé toutes les étapes de sa vie avec beaucoup d’humour (habiter Vincon, le village français qui avant de s’appeler Richelieu était Richeloc, …) que Richelieu était l’instigateur de l’académie française, qu’il se considère plus comme un historien de la langue qu’un linguiste et qu’il est important de parler une langue de culture et d’une langue régionale.

     

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    Pendant l’apéritif, chacun a pu déguster la flamiche servie par la Royale Confrérie des Quarteniers de la Flamiche dinantaise.