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Nature - Page 9

  • Grâce à Chantal Gilles, Sénégal Dreams peut aider des adultes et des enfants du Sénégal

    Infirmière de profession et Emptinoise depuis 40 ans, Chantal Gilles a rêvé de pouvoir faire du volontariat dans un pays en développement. Mise en contact il y a 8 ans pour un infirmier du dispensaire de Ngaparou au Sénégal, elle s’y rend et décide de créer Sénégal Dreams avec d’autres volontaires.

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    Lors de sa première rencontre en 2013, elle découvre la misère et la vétusté du matériel médical dans le dispensaire et dans les espaces liés à la scolarité des enfants. En couplant son expérience de volontariat avec celui du don, elle fait construire une première classe et décide de s’investir à long terme. Depuis, elle part deux fois par an au Sénégal, actuellement au dispensaire de Saly (la prochaine fois du 13 février au 29 mars 2022) et mène plusieurs projets de construction et de rénovations grâce aux bénéfices récoltés lors d’un souper annuel. Comme Sénégal Dreams prend de plus en plus d’ampleur, une ASBL est créée l’an dernier avec bon nombre de bénévoles de la région.

    DSC_0073.jpegCette année, outre sa présence aux Fééries de Ciney où ont été vendus des produits artisanaux fabriqués au Sénégal, Chantal et ses amis ont organisé pour la 3e fois un souper en octobre à la salle St Luc, un petit marché d’été et un marché au mois de juin.

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    Réalisations

    L’objectif de Sénégal Dreams n’est pas d’imposer une vision occidentale mais de travailler, main dans la main, avec des Sénégalais sur base des besoins de la population locale. L’ASBL met en avance l’importance du droit à la santé et à l’éducation pour toutes et tous ! En 8 ans, Sénégal Dreams a permis la réalisation :

    • De l’équipement du dispensaire de Ngaparou et la formation du personnel
    • La construction d’une classe et l’aménagement d’une cour de récréation à Konkhoma

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    • L’aménagement d’une salle de soins et d’une salle de vaccination ainsi que l’acquisition d’un concentrateur d’oxygène au dispensaire de Saly. Une campagne de vaccination y a été menée ainsi que la mise en place du don de sang.
    • La distribution de fournitures scolaires et de médicaments gratuits

    254985822_407313917549574_1806874627929282078_n.jpgLe nouveau défi est la construction et l’aménagement de plusieurs espaces au dispensaire de Saly pour lequel un budget de 30.750 euros a été estimé.

    Pour tout contact avec l’ASBL, le 0497 46 03 95, senegal.dreams@gmail.com ou chantal.gilles@skynet.be ou, enfin, Sénégal Dreams sur Facebook

  • Portes ouvertes de l’Association fromagère Collégiale

    C’est en présence des personnes qui ont participé à la campagne Prêt Coup de Pouce pour l’Association et de membres du Franc Thour que s’est déroulée une journée de visite dans les fermes du Sacré Cœur, Mars aux Frênes et de la Bourgade.

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    DSC_0013.jpegL'Association fromagère Collégiale, c'est l'histoire de 3 éleveurs (Emmanuel Samson, Luc Tasiaux et Jean-Marie Leboutte), de 2 transformateurs (Fabien Jacoby et Daniel Cloots) et du GAL (Nina Legros) qui ont réfléchi ensemble depuis 2 ans à développer une fromagerie commune en territoire Condroz-Famenne. Nina accompagne des éleveurs du territoire Condroz-Famenne depuis 2018, d’abord sur les questions d’autonomie alimentaire et ensuite, sur la valorisation du lait. Pour y arriver, ils se sont lancés dans la production du Collégiale de Ciney d’abord dans l'atelier partagé du Pôle fromager de l'EPASC à Ciney. Dans le but de produire plus de fromage, ils ont déménagé ensuite dans l'atelier de chez Luc et Christine Tasiaux à la Ferme du Sacré-Cœur à Natoye. Le Collégiale, une pâte mi cuite, type raclette à identité régionale avait été créé il y a quelques années au Pôle Fromager avec une recette bien précise. Cette recette a été reprise par l’Association fromagère en insistant sur une production d’un lait riche en protéine et en matière grasse. Sa fabrication suit le même cahier de charges que le Herve, le seul fromage belge à avoir obtenu une AOP.

    DSC_0011.jpegLuc Tasiaux, de la Ferme du Sacré Cœur à Natoye a accueilli les visiteurs pour leur départ de la journée : « je représente la 5e génération de cette ferme familiale, installé depuis 1999 d’abord avec mon papa. Dés le début, Christine et moi avions envie de transformer notre lait en élevant des bovins de la race Simmental, une race laitière de type mixte. Nous produisons entre 400 et 500.000 litres de lait par an. Nous élevons également des blancs bleus. Outre la production de beurre, yaourt, glace, fraises, fromages fermiers, nous nous avons ouvert notre propre boucherie depuis un mois. » Son atelier de transformation multi fonction a été agrandi pour y fabriquer le Collégial. L’extension de l’atelier de transformation de Natoye et la cave d’affinage ont pu être construites grâce aux sommes récoltées via la campagne Prêt Coup de Pouce.

    DSC_0015.jpegDeuxième étape chez Manu de la ferme Mars aux Frênes où a été installé cette année la cave d’affinage. Fabien Jacoby y travaille depuis avril 2 jours par semaine. Manu est installé dans cette ferme depuis 34 ans et son cheptel se compose de blanc bleu mixte et Simmental. Fabien a expliqué tout le lent processus de fabrication du Collégial : « 1 journée et demi de travail à partir de lait refroidi à 2 ou 3°, fabrication à Natoye à 34° puis 2 à 3 mois d’affinage sur planche de douglas (ce bois est respirant) avec au départ une vingtaine d’heures dans la saumure afin de former une croute au fromage pour sa conservation. » Fabien commence également à fabriquer des roues de 8 à 10 kg affinées plus longtemps. On y produit le Collégial, le Collégial en format raclette, le raclette oignon, le petit Doyen, un pâte non cuite et le petit dernier, le Vach'aufé, une pâte pressée mi cuite sous forme de pain.

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    DSC_0024.jpegDernière étape de la journée à la Ferme de la Bourgade à Moressée (Somme-Leuze) où Jean-Marie Leboutte explique sa philosophie de son travail : « je suis le plus jeune d’une famille de 8 enfants et ai repris la ferme familiale en 1996. Nous avons toujours vendu du beurre. Nous sommes passé au bio depuis 2016 et ouvert au tourisme en 2007. Notre cheptel est du blanc bleu mixte et toute notre production est transformée. Pour assurer l’avenir de notre agriculture, nous devons nous unir, le Collégial nous donne une identité de notre région. A terme, nous rêvons d’une AOP ! »

    La journée portes ouvertes s’est achevée par une dégustation de fromages autour d'un verre.

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    La présence de membres du Franc Thour s’explique par le fait que depuis peu, la confrérie cinacienne promotionne le Collégial et qu’il sera disponible lors de toutes les manifestations auquel elle participe comme la prochaine Saint Eloi, les Fééries, … Bientôt, on pourra affirmer que le Franc Thour est devenu une confrérie de terroir !

  • Plus de cent cavaliers à la 20e bénédiction Saint-Hubert à la Haie-Jadot à Hamois

    Comme la plupart des événements l’an dernier, pandémie oblige, la traditionnelle bénédiction de la Saint-Hubert n’avait pu avoir lieu. Tous les propriétaires d’animaux étaient donc heureux de se retrouver dans un moment de convivialité sous un soleil des plus généreux

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    DSC_0188.jpegOrganisé par la cellule communication de l’ l'Office du Tourisme de Hamois, aidé pour la partie randonnée équestre par les familles Lambert, Wathelet et Hautbruge et pour la partie repas par le comité des parents de l'école de Schaltin, la bénédiction Saint-Hubert à la Haie-Jadot fêtait son vingtième anniversaire sous les meilleurs auspices.

    DSC_0186.jpegLes sonneurs du Cercle Saint Hubert de Bruxelles étaient présents au moment de la bénédiction des animaux par l’abbé Norbert Leboutte (tout heureux de revoir ses anciennes ouailles). Signalons qu’un des sonneurs, Tony Bellemans, habite à deux pas du lieu de la bénédiction, le parking de la salle de la Haie-Jadot.

     

    Comme l’a rappelé Pierre-Henri Roland, premier échevin, avant le début de la bénédiction : «merci à la division nature et forêt qui a permis aux cavaliers d’emprunter des chemins publics et privés sur près de 20 km, merci au Comité de la Haie-Jadot et merci à tous les bénévoles pour la réussite de cette journée. ». A mi-parcours, une halte « Gatte d’or » était offerte aux cavaliers.

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    Plus d’une centaine de chevaux et d’une quinzaine de chiens ont reçu, soit les pains, soit les croquettes bénies.

    Alors que les années précédentes, c’était toujours le comité des parents de l’école de Mohiville qui organisait la partie petit-déjeuner et repas chaud, comme il n'était pas disponible cette année, il a été demandé à celui de Schaltin de les remplacer pour cette année et d’offrir près de cent repas bien appréciés par les cavaliers à leur retour de leur randonnée.