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Livre - Page 2

  • A la belle étoile est le Prix Première Victor du livre Jeunesse 2024

    PPVLJ_GENERIQUE_500x750_Auvio.jpgLa lauréate du Prix Première Victor du Livre Jeunesse 2024 est Brigitte Somers pour son roman À la belle étoile publié aux Éditions Mijade. Un premier roman qui mêle subtilement Histoire de France du XVIIe et critique du harcèlement scolaire des personnes jugées comme différentes.

    3.033 jeunes lecteurs et lectrices de 12 à 15 ans étaient inscrits pour cette sixième édition. Ils et elles ont plébiscité ce belge.

    Brigitte Somers a reçu le Prix Première Victor du Livre Jeunesse ce jeudi 25 avril à 11h, au cours de l’émission Tendances Première, présentée par Véronique Thyberghien et Cédric Wautier, en compagnie, entre autres, de Francis Van de Woestyne (papa de Victor) et Deborah Danblon (initiatrice du Prix et chroniqueuse littéraire).

    Le médaillé olympique en hockey sur gazon, Vincent Vanasch, a accepté de remettre le Prix. Son engagement manifeste son soutien au Fonds Victor et souligne son attachement à la lecture et au livre : une superbe source d’inspiration, selon lui.

    Le Prix Première Victor du Livre Jeunesse est doté d’un montant de 1.500 euros offert par le Fonds Victor (https://www.lefondsvictor.be) et d’une campagne de promotion diffusée par La Première sur toutes ses plateformes. Les livres primés sont également déclinés en audio-livres et disponible sur le site AUVIO : https://bitly.cx/N0LL

    Brigite Somers est née en Belgique. Grande passionnée de l’histoire de France, elle aime partager ses connaissances, notamment sur la vie au XVIIe siècle, Versailles... de manière ludique et agréable. Elle est aussi très sensible à certains sujets de société, tels que le harcèlement scolaire, l’acceptation de soi et de la différence... À la belle étoile est son premier roman.

    Le livre À la belle étoile (Éditions Mijade)

    Couverture - à la belle étoile - PPVLJ 2024.pngUne nouvelle élève vient d’arriver dans la classe d’Emma. Elle s’appelle Jeannette. Non seulement son nom n’est pas à la mode, mais ce n’est pas la seule chose étonnante chez cette fille : ses vêtements, sa coiffure, son langage... tout semble provenir d’un autre temps. Accompagnée de ses amies Charlotte et Alice, Emma découvre que la famille de Jeannette vient du XVIIe siècle et est bloquée à notre époque. Pour rentrer, il leur manque un ingrédient rare. Si elles veulent aider Jeannette et sa famille, les trois filles vont devoir monter une sacrée expédition... À la belle étoile est un roman jeunesse parsemé d’anecdotes historiques et d’informations sur le XVIIème siècle, une époque qui passionne l’autrice. C’est aussi un livre qui s’appuie subtilement sur son intrigue pour critiquer le harcèlement scolaire que subissent ceux et celles jugés comme différents.

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    Comme chaque année, 5 ouvrages ont été sélectionnés par un jury composé de professionnels de la lecture et de jeunes lecteurs et lectrices. Les ouvrages en lice pour l’édition 2024 du Prix Première Victor du Livre de Jeunesse étaient :

    • À la belle étoile de Brigitte Somers (Éditions Mijade)

    • Alaska de Anna Woltz traduit par Emmanuèle Sandron (Éditions Bayard Jeunesse)

    • Caraïbes amères de Vinciane Moeschler (Éditions Le Muscadier)

    • Ce soir, on dort dans les arbres de Violaine Lison, avec les dessins de Valérie Rouillier

      (Esperluète Éditions)

    • Par-delà les sentiers de Jérôme Eeckhout (Éditions Alice Jeunesse)

     

  • La revue n°146 du Cercle Historique de Ciney vient de paraître en librairie

    Les tanneries dans l’entité de Ciney, Lina Cerjerah, une auteure cinacienne, Jean-Baptiste Julien d’Omalius d’Halloy, Haversin, Haid, Serinchamps de la Révolution française jusqu’à la fusion des communes font notamment partie des 8 textes des 160 pages du nouveau cahier du CHC au prix de 12 euros.

    La revue n°146 du Cercle Historique de Ciney vient de paraître en librairie1.jpegGrâce à l’arrivée du chemin de fer à Ciney en 1858 et la construction d’un bon réseau routier, de nombreuses industries ont vu le jour à Ciney dont des fours à chaux, ce qui a permis de relancer les tanneries qui avaient disparu à la fin de l’Ancien Régime. On pensait qu’un seul bâtiment transformé en logements avait subsisté, mais, surprise, deux anciennes usines également transformées en habitations ou bureaux sont toujours existantes raconte Amand Collard.

    Jean-Pierre Hamblemme présente Nosse vi bolèdji, Michel Marchal qui permet de découvrir un reportage que l’INR lui avait consacré en 1964 !

    Amand Collard trace le portrait de Lina Cerjerah, une auteure cinacienne ainsi que de Jean Charlier, un architecte employé à l’EPC.

    Yves du Parc Locmaria trace le portrait d’un des personnages les plus prestigieux de l’entité de Ciney, Jean-Baptiste Julien d’Omalius d’Halloy, géologue, Gouverneur de la province de Namur, sénateur et ancien président du Sénat.

    Dans le cadre du projet communal, Ma commune dit oyi, David Delrée présente Côp d’gueuye dès vîs, sujet bien d’actualité.

    Faisant suite au long article sur la société Ronveaux dans le numéro 145, Léon Mazy évoque les rapports cordiaux entre son père et Eugène Ronveaux.

    Si vous voulez en savoir plus sur les fêtes et festivités d’autrefois à Chevetogne, suivez l’évocation d’Amand Collard sur une époque où on aimait bien s’amuser !

    Enfin, vous apprendrez en lisant le texte concernant la commune de Serinchamps d’Amand Collard, que cette dernière a fait partie du canton de Rochefort à la Révolution française ainsi que moult détails sur Stran t’champs pendant près de 180 ans !

    Voici la liste des points de vente dans l’entité de Ciney:  Planet Express, Papeterie Grégoire, Office du Tourisme, Centre Culturel, Sista Sista et Wama beef à Ciney, au 7 rue des Agauches à Braibant, au 28 de la rue du Tour de France à Chevetogne, au Magasin Louis Delhaize et chez Amand Collard à Haversin (amand.collard@skynet.be, 083.68.89.20 également pour les anciens numéros) et au magasin Supra à Leignon.

    La liste des revues disponibles ainsi que les adresses des points de vente sont accessibles via http://www.haversin.eu/cineyhistoire.htm.

    Photo recto : rue de la Gare à Leignon

    Photo verso : vue aérienne de la ville de Ciney

  • L’ombre d’une racine, le premier roman du Scyoux François Degrande

    L’an dernier, nous avons pu faire connaissance avec le poète, l’écrivain, le musicien et le prof d’espagnol et de français à St Jo à Ciney. Il y a un mois, sort son premier roman, inspiré par une double tragédie qui s’est déroulée sur la côte de la Mort en Galice et le naufrage du Prestige qui y sombrait il y a 21 ans !

    Quel parcours pour François Degrande depuis sa naissance en 1982 à Hemptinne, son immersion en espagnol à 16 ans à Bilbao, son travail de doctorat sur les lettres argentines à 24 ans, la découverte de sa pampa et de sa musique jusqu’à ce qu’il devienne un vrai Scyoux depuis plus de 5 ans en découvrant un petit paradis sur terre dont l’arrière donne sur le sud et les premiers écoulements  du Bocq depuis sa source à deux pas de sa maison.

    thumbnail_François Degrande .jpgEn enseignant à Saint Joseph, il a fait connaissance avec Claude Donnay auteur et éditeur (Bleu d'encre) qui a édité deux de ses recueils de poésie. Mais, c’est chez M.E.O. à Bruxelles que L'ombre d'une racine paraît officiellement le jeudi 5 octobre, avec, évidemment, l’encouragement et le soutien total de Claude qui a déclaré après s’être régalé de sa lecture  «François signe une véritable performance littéraire, surtout quand on parle d'un premier roman. C’est une réussite tant au niveau de la construction romanesque, très élaborée, que de la langue. Le lecteur est emporté et en même temps bercé par la musique des mots. Je pense que ce n'est pas un roman « page turner », même s'il y a du suspense, mais un roman, dont on se délecte et qu'on aura probablement envie de relire un jour ou l'autre. »

    L’ombre d’une racine, le premier roman de François Degrande3.jpgPour l’intrigue du roman, la voici en quelques lignes: Santos, qui enseigne la littérature classique à l’université, vit sur la côte de Galice avec Lucia, thérapeute pour enfants. Anarchiste, alcoolique et pourfendeur des séquelles du franquisme, il n’est pas bien vu par la Guardia Civil. Tout bascule avec le naufrage du Prestige et son travail de volontaire pour lutter contre la marée noire jusqu’au moment où il découvre un chien et un bébé abandonné dans un couffin qu’il n’arrive pas à remettre à la famille et aux autorités. Laissez-vous emporter par la magie de sa prose sur 236 pages, entre les méandres de rêves et réalités, avec un Santos s’identifiant à Don Quichotte de la Mancha ! Son roman a été publié avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles ainsi que le fond national de la littérature. Il fait partie de la campagne Lisez-vous le belge ? de ce mois de novembre.

    Non content d’écrire et de chanter, François Degrande est présent depuis l’an dernier à l’émission littéraire Toutimus sur Matélé et organise avec son complice Olivier Terwagne des concerts culinaires dénommés Odes à Bacchus. Les derniers concerts se sont déroulés sur le Mouche le long de la Meuse à Dinant et, à deux pas de chez lui en l’église de Scy.

    L’ombre d’une racine, le premier roman de François Degrande2.jpg

    Pour ceux qui désirent rencontrer François Degrande dans la région, il sera présent le vendredi 17 novembre à l’Espace Comtal, situé au n°1 de la rue du Relais à Emptinne, à côté des bureaux de l’administration communale de Hamois. Un café littéraire sur l’auteur hamoisien et son roman débutera à 19h30. Pour contacter François Degrande, un courriel, francoisdegrande@hotmail.com ou sa page Facebook.