La tradition a été une nouvelle fois respectée à St Jo pour fêter les collègues admis à la pension, ainsi que ceux qui fêtent cette année leurs 35 ou 25 ans de bons et loyaux services en présence de nombreux anciens, de représentants du P.O. et de beaucoup de jeunes professeurs de l’école.
Pour l’équipe de la Direction de l’école (Laurence, Patricia, Laurence, Christophe et Olivier), « le souper de Noël est un moment privilégié qui tente de rassembler l’ensemble de la communauté de l’école. C’est l’occasion de célébrer les réussites de l’année écoulée et de renforcer les liens qui nous unissent. Saluons le travail et l’engagement sans faille de chacun ! Ce souper de Noël rassemble non seulement les membres actuels de notre équipe mais également ceux qui ont contribué à l’histoire de St Jo. L’Institut est bien plus qu’une simple école. C’est un lieu où les élèves sont encouragés à grandir, à apprendre et à s’épanouir dans une environnement bienveillant et stimulant. Remercions tout particulièrement les équipes qui, au quotidien, œuvrent dans l’ombre pour assurer le bon fonctionnement de notre institution. » Ensuite, ils se sont plus particulièrement adressés aux actuels enseignants qui repoussent constamment les limites et qui se tiennent à relever tous les défis qui se présentent : « vous avez particulièrement à cœur de prendre soin des plus démunis parmi nos élèves. Votre sens de l’empathie et votre compassion sont des qualités qui font de vous des éducateurs d’exception ! »
Après les discours des directions, quelques collègues qui ont consacré de nombreuses années de leur vie à St Jo ont été honorés et remerciés : Martine Michaux pour son départ à la pension et sa carrière exceptionnelle de professeur de français, Coryse Trausch, Cédric Ledent et Thierry Colard qui célèbrent leurs 25 ans de service au sein de l’établissement ainsi que Philippe Gilson, Isabelle Florent, Isabelle Mignolet et Anita Vandeberg pour leurs 35 ans de carrière exemplaire.
Grâce à l’arrivée du chemin de fer à Ciney en 1858 et la construction d’un bon réseau routier, de nombreuses industries ont vu le jour à Ciney dont des fours à chaux, ce qui a permis de relancer les tanneries qui avaient disparu à la fin de l’Ancien Régime. On pensait qu’un seul bâtiment transformé en logements avait subsisté, mais, surprise, deux anciennes usines également transformées en habitations ou bureaux sont toujours existantes raconte Amand Collard.