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Environnement - Page 9

  • 167 arbres plantés pour 167 bébés nés en 2020 dans toute l'entité de Ciney !

    DSC_0020.jpegComme l'année dernière pour les naissances de 2019, le Collège communal a souhaité planter, pour chaque nouveau-né de 2020, un arbre de bienvenue. Malgré la trentaine d'arbres vandalisés récemment, l'administration communale ne s’est pas découragée afin de mener à bien ce projet. 

    DSC_0025.jpegPour rappel, celui-ci vise à agir en faveur de la nature et à transmettre aux prochaines générations un environnement agréable et accueillant. L’an dernier, 173 tilleuls à grandes feuilles ont été plantés, correspondant aux 173 bébés de 2019. Comme l’an dernier, pas de moment festif et, malheureusement, une météo automnale alors qu’en 2019, c’était plutôt estival !167 arbres ont été plantés en fin d'année 2020 dans chaque village et à Ciney correspondant aux 167 bébés de l'année 2020 et installés dans le village où l'enfant était domicilié à sa naissance. :

    • 9, sur la route de Stée à Braibant
    • 7 au croisement avec la rue de Clavia et la rue Basse Sovet
    • 18 au zoning d’Achêne près de la chapelle proche de la bretelle de l'E411
    • 3 non loin de la grotte de Conjoux
    • 8, près du pont de l'Iwoigne à Chevetogne
    • 13, au terrain du Grand Feu des Basses
    • 40, non loin du parc à container de Happe à Leignon

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    • 10, le long de la route vers Haversin à Pessoux

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    • 59, le long de la rue du marché couvert à l’intérieur du site à Ciney

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    DSC_0026.jpegA chaque endroit de plantation, le bourgmestre, Frédéric Deville, accompagné d’Anne Pirson, de Colin Pirlot, du service environnement et de Didier Lissoir, responsable plantations, ont remis une plaquette portant les noms et prénoms des enfants ainsi que leur date de naissance aux parents présents. Le bourgmestre a émis le vœu que chaque enfant, lorsqu’il aura atteint ses 18 ans envoie au Collège de l’époque une photo avec son arbre de naissance.  Cette action devrait être mise en place chaque année jusqu'en 2024.

  • Fournisseurs de l’Horeca : les pisciculteurs wallons aussi impactés par la crise !

    Les services opérationnels du Collège des Producteurs (dont voici un résumé) ont mis en place une enquête d’évaluation de l’impact de la crise pour le secteur aquacole wallon. Il en ressort une perte non négligeable de plus de 35% du chiffre d’affaires depuis octobre 2020 pour les producteurs qui travaillent comme fournisseurs de l’Horeca. De façon globale, le secteur essuie une perte de plus de 10% de chiffre d’affaires depuis mars 2020.

    Impact de la crise sur le secteur aquacole wallon pour l’année 2020

    Les impacts de la situation sanitaire ont été relativement variables en fonction des débouchés commerciaux des producteurs aquacoles wallons. Leurs principaux marchés sont les établissements Horeca ainsi que le monde de la pêche (repeuplements publics en rivière, repeuplements privés en rivière, repeuplements privés en étangs ainsi que la vente de vifs pour la pêche aux carnassiers), 2 secteurs d’activités particulièrement touchés par la crise cette année.

    Catastrophe pour les producteurs fournisseurs de l’Horeca et des grossistes

    Les producteurs de salmonidés (dénomination pour désigner les espèces de poissons comme la truite ou le saumon de fontaine) ont pour principal débouché les restaurateurs qui travaillent avec des produits locaux et de terroir, ou encore des grossistes. En effet, la truite wallonne représente moins de 0,5% de la consommation totale des Belges et elle est principalement consommée hors domicile (source : Collège des Producteurs). La fermeture de l’Horeca a donc entrainé des pertes variables : le déconfinement de l’été 2020 avait été très bon pour compenser les premières pertes, tandis que la saison haute en Ardenne pour l’automne-hiver a été catastrophique au niveau de la restauration. Depuis octobre 2020, le chiffre d’affaires perdu par ces producteurs est estimé à plus de 35%.

    Situation presque stabilisée pour la production des esturgeons

    En Wallonie, une entreprise est active dans la production de femelles esturgeon pour le caviar. Leurs activités ont connu une baisse importante durant le premier confinement, amenant à une perte de chiffre d’affaires de presque 100% en avril 2020. Depuis, on assiste à une reprise des commandes des restaurateurs qui optent davantage pour des contenants de 30gr mieux adaptés aux formules de « take away », ce qui est presque venu rééquilibrer les pertes du premier semestre 2020.

    Le succès des poissons à destination des repeuplements privés et publics

    Pour les producteurs qui livrent des salmonidés afin de repeupler les rivières et les étangs, 2020 a par ailleurs été plutôt signe d’une augmentation du chiffre d’affaires de près de 10%. Ceci s’explique par le succès remporté par la pêche de loisir durant l’été dernier, - avec +30% de permis de pêche vendus par rapport à 2019-, et par conséquent de l’augmentation des commandes de poissons de la part des sociétés de pêche et propriétaires d’étangs.

    Grosses pertes pour les vifs de pêche

    Les producteurs de vifs de pêche fournissent en fait des poissons vivants à destination des amateurs de pêche dite « au vif » : une activité de moins en moins pratiquée chez nous mais pour laquelle il existe une demande plus importante en France, principal client des producteurs wallons. Avec la fermeture des magasins d’articles de pêche en 2020, les producteurs actifs dans cette diversification ont rencontré plus de 35% de pertes, accompagnées d’un gaspillage des poissons compte tenu leur taille devenue non-commercialisable.

    Des ajustements souhaitables en termes de mesures de soutien au secteur

    Pour faire face à ces pertes de revenu significatives, les aides proposées ne répondent que partiellement à la situation des producteurs aquacoles. 

    Concrètement, le droit-passerelle n’était pas applicable pour la majorité des piscicultures : ces dernières étant gérées à titre d’activité complémentaire, elles ne permettent pas de générer le revenu minimum nécessaire à l’octroi de ce droit. Quant aux indemnités compensatoires wallonnes, si le code NACE des pisciculteurs ne permet pas actuellement d’en percevoir (puisque celles-ci sont accordées aux entreprises obligatoirement fermées sur décision du Comité de concertation), les producteurs attendent avec impatience le lancement de l’indemnité destinée aux secteurs actifs dans le B2B, comme par exemple, les fournisseurs de l’Horeca.

    Chaque consommateur peut agir !

    Pour les consom’acteurs qui le souhaitent, la plupart des producteurs de truites travaillent surcommande en vente directe. La liste des producteurs wallons est disponible sur le site de l’Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-W) : www.apaqw.be/poissonduterroir

    A propos du secteur aquacole wallon

    Le secteur aquacole wallon est caractérisé par une quarantaine de sites de production, totalisant approximativement 10.000.000 € de chiffre d’affaires. Sur cette quarantaine de sites, la moitié est composée de petites piscicultures de salmonidés gérées à temps partiel. Il y a aussi trois unités importantes d’importation et d’affinage de truites ainsi qu’une unité d’envergure en circuit fermé pour la production d’esturgeons à caviar. La production totale se compose approximativement de 200 tonnes de salmonidés, 80 t d’esturgeons, 40 t de poissons blancs ainsi qu’une importation de plus de 1000 t de salmonidés pour l’affinage, la transformation et des repeuplements dans les pêcheries et étangs de pêche ou d’agrément privés.

    Si le nombre total n’est que de 42 piscicultures en Wallonie, le secteur de la transformation du poisson compte 16 entreprises qui totalisent environ 200 emplois directs.

  • Réouverture de 2 chemins communaux à Hamois et à Skeuvre

    Lors du dernier conseil communal de ce dernier lundi d'avril, l’échevin des travaux, Cédric Bertrand, était heureux d’annoncer la réouverture de 2 chemins communaux : le premier de la rue St Pierre au Tige de Buresse et le second, une liaison entre la rue de Skeuvre et le chemin sur les Sarts. Il avait insisté sur le fait que de nombreux promeneurs, à pied, à cheval ou à vélo, empruntent de plus en plus les sentiers et les promenades de la commune, un des rares côtés positifs de cette pandémie !

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    On peut rappeler que, pour le sentier du Tige de Buresse, il a fallu près de 10 ans pour qu’un accord puisse être trouvé et que sa réouverture avait été annoncée lors du dernier conseil communal de l’année. Il passe entre les prairies Beghuin et le bois en direction de Buresse.

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    Si, dans un premier temps, le service travaux avait nettoyé la partie bois (une grande partie des copeaux étant utilisés pour recouvrir le sol), il fallait encore installer deux barrières genre tourniquet pour emprunter la prairie.

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    Ce sentier, long de 500m, permet ainsi aux utilisateurs de se déplacer parallèlement au Ravel et ainsi, éviter sa trop grande fréquentation.

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    Il permet aussi de réaliser plusieurs boucles, soit au départ de Hamois, de Champion ou de Buresse.

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    Pour le second sentier, quoi de plus simple que de le découvrir, à pied, avec Cédric Bertrand, ce qui a été fait hier, mardi.

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    L’échevin tient à remercier Hubert de Beaudignies qui a autorisé l’accès sur une partie de sa propriété. Le chemin réhabilité, long de 1,3 km, fait partie d’un ancien chemin communal qui reliait le hameau de Skeuvre à Frisée.

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    Il rejoint le sentier d’art qui vient de Maibelle et qui arrive à l’œuvre Morpho près de la chapelle sur les Sarts. Au bout de la prairie traversée, un banc a été aménagé par MF et MD, permettant une petite pause tout en admirant la ferme des Sarts ou le champ de culture, dans un silence quasi absolu !

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    Le balisage définitif sera terminé prochainement.

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    Les largeurs des barrières utilisées dans les 2 promenades ne permettent pas aux quads de les utiliser. Un aménagement futur est envisagé afin de pouvoir pousser ou tirer en même temps les 2 parties de la barrière pour les cyclistes et les cavaliers.