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  • 75ème exposition : « Les Peintres du Condroz »

    L'association a accueilli en 2023 et 2024 trois nouveaux artistes, Pascale Deneffe et Pascal Mace et Ingrid Devleminck. Cette année Jeannine Alexandre et Michelle Tulpinck  rejoignent également le groupe : preuve, s’il en fallait, que nous avons à cœur de nous renouveler avec des artistes aux techniques innovantes voire particulières, reflets de leur sensibilité personnelle.

    Ingrid Devleminck a obtenu son diplôme d’architecte à l’ISAI à Mons en 1993. C’est la peintre marchoise Lise Ricaille qui l’a révélée en 2011. Depuis sa première exposition au centre culturel de Durbuy en 2012, elle anime des ateliers de peinture au centre culturel de Durbuy et d’Havelange jusqu’en 2019. Depuis lors elle anime des stages de peinture et céramique chez elle pour l’asbl Créa’Sense in Joy en collaboration avec Pascale Deneffe. Elle a suivi un cours de sculptures en céramique sous l’égide de Carole Mazier, historienne de l’art au Atelier4D, CEC, de 2005 à 2010 puis deux années à l’académie de Marche-en-Famenne sous l’autorité d’Ana-Belen Montero, céramiste belge très connue de 2018 à 2020. Sa plus grande source d’inspiration est la nature et les différents courants philosophiques et religieux. La contemplation et la dévotion l’amènent à se laisser traverser par un courant d’énergie d’où jaillit le « sans forme ». L’abstraction en acrylique est son médium de prédilection.

    Michelle Tulpinck, depuis 2021, a suivi les cours d’art visuel au Bois de la Cambre, section Espace urbain ; et a obtenu différents prix dont en 2023 le Bifff Trolls et Bestioles, et en 2024 le 1er prix du Bifff pour son tableau « Citewigo » exposé ici. Son travail explore les questions d’identité, d’hybridation et de transformation à travers une pratique pluridisciplinaire mêlant peinture, dessin, sculpture et installation. Ses œuvres s’inspirent du réel et du mythologique, du fantastique et de la science-fiction. Elles traduisent une tension entre le sensible et le mécanique, entre la mémoire et la mutation. Le geste pictural devient un langage qui relie le corps et l’imaginaire, la surface et la profondeur, l’intime et le collectif.

    Jeannine Alexandre, a suivi des cours de dessin en 2009 et a découvert la technique du pastel qu’elle a approfondi en participant à des stages avec différents pastellistes renommés tels que Sylvain Loisant, Michel Bordas, Alain Voinot, Cantarana, … parmi d’autres. Les paysages de la région sont pour elle une grande source d’inspiration. Elle travaille par superpositions pour créer des compositions riches en texture et en profondeur. Elle a participé à plusieurs expositions en Belgique et en France, notamment au 7ème salon des Pastellistes des Hauts de France ou elle a reçu le premier prix. En 2024, elle a été sélectionnée pour la 6ème biennale internationale du pastel d’Opale et invitée au salon international du pastel en Périgord.

    Elles sont entourées par les artistes du groupe :

    Sophie Bihin, ses peintures sont empreintes de l’environnement tout proche : prairies, forêts et rivières verdoyantes.

    Arlette Delecluse accroche un panel de peintures à l’huiles revisitées.

    France Delieux portraitise chien, chat, lapin avec originalité, et pour la zenitude propose deux mandala.

    Paule Demunck  propose quant à elle 2 acryliques inspiration « volcan » et aquarelles sur le thème des aurores boréales.

    Pascale Deneffe toujours guidée par le geste et l’intuition, a ajouté à ses compositions abstraites de délicates touches d’or qui les illuminent et en révèlent la sensibilité

    Alain Ferbus retient votre attention avec ses recherches faisant appel à différentes techniques allant de l’expression photographique aux tableaux à l’acrylique en passant par les encres et certains découpages.

    Sylvie François a garni la vitrine du centre culturel de ses dernières où pierres, perles et matières s'entremêlent délicatement, privilégiant entre autre le noir et le doré.

    Pascal Mace reste fidèle à ses techniques bien affirmées pour dépeindre des paysage de plus en plus abstraits, plus incisifs, au couteau, à la brosse, ou même au doigt, avec un fil conducteur : l’eau. Celle-ci est présente dans la grande majorité de ses tableaux à travers les rivières, les fleuves et la mer.

    Marie Paule Meunier, céramiste définit ainsi son œuvre artistique : « Chaque céramique naît de la fusion de la terre, du feu et de l’eau…Toute œuvre est l’expression d’une vie, le   reflet d’une âme… et la sensibilité d’un être ! L’artiste vous parle ».

    Cette année le Prix du Public à gagner à l’issue du vote est une aquarelle de Paule Demunck.

    Exposition : Centre Culturel de Ciney, place Roi Baudouin,1 du 6 au 21 décembre, vernissage le vendredi 5 à 19h. En semaine ouvert de 9 à 12h et de 14 à 17 h . Contact :083 216565

    Les samedis de 14 à 18h et dimanches de 14h à 18h, en présence des exposants. Contact : 0472 759969

     

  • La dernière de l’année pour fêter six couples de Hamois et Natoye

    Comme d’habitude, la réception, sous forme d’apéritif après les discours, s’est déroulée dans le hall d’entrée du château de Schaltin en présence des familles, enfants et petits-enfants et d’une partie du Collège et du conseil communal. Noces d’Or et de Diamant figuraient au programme.

    La bourgmestre, Valérie Warzée, s’est occupée de l’accueil des familles et de jubilaires, insistant que cet instant fasse partie des plus beaux mandats d’un mandat et de partage de nombreux moments de joie des jubilaires avec leurs familles et leurs proches. Elle a ensuite passé le témoin à un des membre du conseil communal qui a rappelé les grands moments de chaque couple.

    Georges Etienne et Nicole Mottart se sont mariés le 10 décembre 1965. Leur histoire a commencé en musique, Georges faisant partie du groupe les Copains de la Chanson que Nicole est allée voir pour ne plus se quitter. De leur union sont nés 3 enfants, 3 petits-enfants et un arrière-petit-fils. Après avoir élevé ses enfants, Nicole a travaillé aux Arsouilles. Tout en continuant ses activités artistiques, Georges était délégué commercial en mobilier de bureau. Il s’est également investi à Hamois dans le Condruzien et le club de pétanque. N’oublions pas qu’il a écrit un roman, « Dieu réunit ceux qu’on aime ».

    C’est le 26 février 1966 à Gilly que Marcel Desmet, né le 15 avril 1932 à Paris et Christiane Wauthy, née le 4 juin 1940 à Saint Amand se sont mariés. Si Christiane s’est occupée de ses enfants, Marcel a travaillé 40 ans dans la sidérurgie. Ils se sont installés au centre de Hamois il y a dix ans, pour se rapprocher de leur fils qui a créé Condroz-Gibier.

    C’est le 8 novembre 1975, à Hamois, que Marylin Depré et André Daoust se sont mariés. C’est évidemment à la buvette du Condruzien qu’ils se sont rencontrés. La vie à deux les mènera de Namur, à la Haie-Jadot jusqu’à une longue parenthèse parisienne de 1986 à 2000. De leur union sont nés 2 enfants et 2 petits-enfants. Leur vie a été nourrie par le tennis de Marylin, les voyages et le foot d’André et de Tanguy, André présidant actuellement la RUW de Ciney.

    Née le 25 janvier 1953 à Libramont, Bernadette Lafalize, a épousé le 16 janvier 1976, Bernhard Haesen, né à Lüdenscheid le 5 décembre 1953. Après des années en Allemagne où Bernhard était militaire, ils se sont installés à Natoye. De leur union sont nées 3 filles et 6 petits-enfants. Bernadette, après 5 années en atelier photo à Bastogne, s’est consacrée à sa famille. Après 40 ans dans l’armée, Bernhard a travaillé au Ciney Expo.

    Anne Legrand, née à Flamierge en avril 1954 et Joseph Martial, ne à Nassogne en mai 1951, se sont mariés le 9 janvier 1976 à Gérin. Le couple s’est installé dans une maison terrienne de Hamois. Si Jojo a été conducteur de train, Anne était aide-soignante. Le couple a 2 garçons et 4 petits-enfants. Le tennis en couple mixte, le whist avec leurs amis et les soirées foot rythment la vie du couple.

    C’est lors d’une course de côte à Houyet en septembre 1972 qu’André Diskeuvre et Francine Belin se sont rencontrés. Ils se marièrent le 27 septembre 1975 à Merdorp. Ils ont tous les deux travaillé à la RTT. 2 enfants et 2 petites-filles ont agrandi leur cercle familial. Le couple s’est installé en 1982 à Natoye où André s’est investi dans le basket. Il a également rejoint la section apicole du village.

    Avant de passer au moment de convivialité, la bourgmestre a remercié Mr Adens, directeur de l’Institut de Schaltin et l’équipe de Yoni Sauvage pour le service et les amuse-bouche qui allaient être servis.