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Confréries - Page 12

  • 23e festin du Grand Bailli pour la confrérie de la Gatte d’or à Hamois

    Les membres de la confrérie hamoisienne ont, enfin, pu se retrouver après l’annulation de leurs deux derniers chapitres à cause de la pandémie. Le festin du Grand Bailli, qui a lieu habituellement en janvier, s’est déroulé le dernier dimanche de septembre à la salle de la Haie Jadot.

    DSC_0136.jpegLa vie des confréries n’est pas un long fleuve tranquille depuis mars de l’an dernier : plus de chapitres, plus de rencontres festives, plus d’activités ! Pour les membres de la Gatte d’or, la première activité s’est déroulée le 17 septembre dernier où ils ont servi les boissons lors d’un vernissage d’une exposition aux Ets Macors. Afin de ne pas attendre leur prochain chapitre  du 18 septembre 2022 et pénaliser les nouveaux membres, Jean Didion, le Grand Bailli, était heureux de retrouver de manière conviviale tous ses amis de la confrérie pour un chapitre spécial lors du 23e festin qui porte son nom.

    Cédric Bertrand, échevin des travaux de la commune de Hamois, n’a pas eu le temps de montrer tout ce qu’il pouvait faire pour la confrérie durant sa longue période d’apurdice . Il a été nommé compagnon aubergiste. Tellement heureux d’être présent, il a notamment déclaré : « de la symbolique caprine, j’en serais le chantre et vertueux défenseur avec obstination, joie et liberté. Compagnons, maîtres, baillis, je jure fidélité à Hubines et fais allégeance aux honorables desseins de la noble assemblée, ici, tenue. »

    Etienne Misson, dont l’épouse fait déjà partie de la confrérie, amoureux de la bonne bière, des fêtes festives et des vieilles mécaniques, a été nommé apurdice et devra attendre moins d’un an pour être élever au rang de compagnon. Il n’a pas manquer de jurer de défendre en toute circonstance les us et les coutumes et les produits de la Gatte d’or : Hubinne vivra, Hubinne vaincra !

    DSC_0137.jpegAnnie Perat, entrée dans la confrérie en 2005 et épouse de Nicolas Ringlet, un des membres fondateurs, a été élevée au rang de Maître des Ripailles pour succéder à Monique Rolland, Maître de Gueule (le titre avait été adapté en son temps, exceptionnellement à la qualité du personnage).

    Plusieurs membres de la confrérie ont été remerciés : Marc et Jean-Claude pour leurs 5 ans, Jean-Marie pour les 10 ans, Marguerite et Claudine pour leurs 15 ans et Pol Gillon pour ses 20 ans au sein de la confrérie.

  • 141e cahier du Royal Cercle Historique de Ciney

    Consacré aux festivités dans l’entité de Ciney, cette publication spéciale, la première en couleur avait été imaginée pour le 50e anniversaire du Franc Thour qui aurait dû se dérouler le 13 juin. La pandémie en a décidé autrement !DSC_0021.jpeg

    Pour son n°141, le RCHC diffuse une publication spéciale, abondamment illustrée de 240 pages consacrées aux festivités dans l’entité de Ciney. 16 chapitres qu’une dizaine d’auteurs présentent d’une manière très agréable. A l’origine de cette publication, le 50e anniversaire du Franc Thour  Nostre Damme de Chimey qui devait se dérouler le 13 juin dernier. Ce n’était que partie remise et il n’a fallu attendre que le premier dimanche de juillet et un chapitre intime de la confrérie pour que la publication soit officiellement présentée.

    Pour commémorer cet événement, les auteurs en ont profité pour présenter les festivités les plus importantes, depuis une cinquantaine d’années, dans la commune de Ciney. En 1936, un syndicat d’initiative voyait le jour, avec Raoul Fosséprez comme président : l’objectif était de susciter l’entente entre toutes les festivités locales pour l’organisation des festivités publiques. Grâce à ce S.I. et une administration communale dynamique, de nombreuses activités récréatives se sont développées : carnavals, braderies durant lesquels des jeux populaires se sont développés.

    Les années 60 ont été une période inimaginable pour Ciney : fête de la bière, festival de la guitare d’or, Jeux sans frontières, jumelage avec des villages français et création de plusieurs confréries.

    D’hier à aujourd’hui

    Franz Delieux s’est replongé de manière concise dans l’histoire de la ville de Ciney. Ensuite, place à Amand Collard, président du RCHC, membre du Franc-Thour comme son co-auteur Jean-Claude Fosséprez, à l’histoire de la confrérie qui suit aussi celle de l’Ordre des Gentes Dames de la tarte aux macarons signée Bernard Galet. Ce dernier présente également la Compagnie des Arbalétriers et Jean-Claude Fosséprez fait renaître la confrérie des chauves. Le Festival de la guitare d’or (de 1962 à 1971) et Jeux sans Frontières avec la victoire de Ciney le 29 septembre 1965 contre St Amand-les-eaux sont abordés par Amand Collard. Dernières évocations du passé festif : les historiques et les grands moments des jumelages de Ciney avec Semur-en-Auxois, Leignon avec Meursault, Haversin avec Odenas en Beaujolais, Braibant avec Genay en Côte-d’Or et Chapois avec Chapoi en Jura. Enfin, Marie Collard rappelle la légende de la guerre de la vache qui mit le Condroz en feu.

    Comme toutes les publications du Cercle historique, elles sont disponibles dans les librairies de Ciney, en mode lecture à la bibliothèque Air Livre ou via Amand Collard (amand.collard@skynet.be).

  • 61e chapitre du Franc Thour de Ciney

    La confrérie cinacienne, devenue Société Royale, n’a pu fêter son 50e anniversaire depuis l’an dernier. Elle s’est réunie en mode intime avant d’espérer le fêter en juin 2022 avec le faste et la convivialité qu’elle mérite !

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    En raison de la pandémie, la vie des confréries gastronomiques et culturelles de Wallonie et de Bruxelles s’est arrêtée brusquement en mars de l’an dernier. Cependant, la confrérie du Franc Thour de Ciney a toujours espéré pouvoir fêter son 50e anniversaire, mais, hélas, à chaque fois, il a fallu tout reporter ! Il n’était pas possible d’organiser une telle festivité en respectant le port d’un masque, la distanciation sociale et les saluts du poing ou du coude à coude ! Afin de ne pas pénaliser les recrues, un chapitre intimiste s’est déroulé en ce premier dimanche de juillet dans les locaux de la Maison Citoyenne.

    DSC_0004.jpegPour Guy Baivier, le Roy de la confrérie, « c’est la première fois que nous pouvons nous retrouver ensemble depuis mars 2020, 15 mois de séparation, d’isolement particulièrement insupportable pour nous qui avons fait de la convivialité notre façon de vivre quotidiennement ! Je suis ému et très heureux de vous revoir en ce jour où nous allons accueillir 3 nouveaux compagnons et un aspirant qui auront connu une entrée chaotique dans notre confrérie. »

     

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    DSC_0017.jpegPour leur dévouement et les services rendus à la confrérie, Michel Gengoux, dont la carrière professionnelle a été entièrement consacrée au social vers les handicapés et les accidentés de la vie, Tanguy Van Den Abbeele, qui poursuit son apprentissage en restauration et jeune supporter de la confrérie et Roland Delatte, ancien membre de la confrérie des chauves ont été élever au rang de compagnon. Jean-Marie de Bruyn, qui a fait toute sa carrière comme enseignant à l’Institut Saint Joseph de Ciney et, qui en tant que correspondant local pour le groupe Sudpresse a toujours été présent lors des activités du Franc Thour, a été élevé au rang d’aspirant.

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    Les 3 compagnons et le nouvel aspirant n’ont pas oublié de jurer fidélité à la Chevetogne, et, pour raviver leur flamme cinacienne, de vider leur chope sans laisser goutte de cervoise se perdre !

    Jean Theunissen, président du conseil noble du Namurois était particulièrement fier d’avoir été invité : « j’ai toujours été présent depuis 1995 depuis mon intronisation comme compagnon d’honneur par le papa de Jean-Claude Fosseprez. Disons nos prières pour ne pas être reconfiné en septembre et que nous puissions à nouveau nous réunir ! »

    Comme à chaque chapitre, à la fin de la partie académique, les membres du Franc Thour et leurs compagnes ont entonné le Bia Bouquet et la chanson de la Chevetogne.