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enseignement - Page 12

  • Inauguration de nouvelles ailes et présentation d’un livre des 175 ans de Saint-Joseph de Ciney

    L’augmentation constante de la population scolaire de l’Institut Saint Joseph a sans cesse provoqué l’apparition de nouveaux bâtiments. Cette fois, ce sont deux nouvelles ailes des bâtiments Jacquard et Gramme et d’un bloc sanitaire qui ont été inaugurés.

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    DSC_0162.jpegC’est en présence de nombreux anciens élèves et enseignants que s’est déroulée la partie académique de l’événement. Pour les deux directeurs de l’enseignement général et technique, « il y a plus de 8 ans lorsque sont apparus les besoins nouveaux en espace et lieux de vie, et qu’était envisagée la construction d’un préau sur la cour du premier degré, l’institut comptait environ 1.450 élèves. Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 1.820 jeunes qui fréquentent notre institution. L’institut a toujours su cultiver un caractère avant-gardiste qui fait sa marque de fabrique. Là où la génération précédente a initié des projets comme l’Eurodyssée, celle d’aujourd’hui a pu déployer des dispositifs de soutien ou des moyens numériques qui auront permis d’amortir le choc de la crise sanitaire. »

    DSC_0163.jpegAprès Béjart, Darwin, Archimède, Europe, Icare, les espaces classes se sont avérés insuffisants. 8 nouvelles classes sur deux niveaux et des toilettes sont accolés au bâtiment Jacquard depuis 3 ans. Une nouvelle aile du bâtiment Jacquard a été mise en service avec 4 locaux de classe, un espace éducateur et un remodelage de l’espace bureau. Ces constructions ont été complétées par un pavillon moderne de sanitaires sur l’espace Newton pour pallier au déficit de toilettes filles et garçons. Avant la partie plus festive et la découverte des nouveaux locaux, le doyen de Ciney, Pascal-Marie Jerumanis a procédé à la bénédiction des bâtiments. Auparavant, Franz Delieux, Jean-Louis Volvert, Daniel Job et Dany Latour ont été mis à l’honneur pour tout ce qu’ils ont fait pour St Jo.

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    Un livre des 175 ans de la génération Saint Jo

     

    DSC_0164.jpegPendant les 175 jours qui ont précédé la célébration le 20 septembre 2019 du 175e anniversaire de l’école lasalienne, un témoignage d’ancien a été publié sur la page Facebook de la Générations St Jo et sur la page web du secondaire de l’institut. La parole avait été donné à 175 rhétoriciens et de terminales, filles et garçons, sur les 7.000 titulaires du Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur de 1952 à aujourd’hui. Une brochure papier de plus de 200 pages, réalisée par deux anciens directeurs Daniel Job et Jean-Louis Volvert reprend les 175 témoignages, un historique de l’école rédigé par Franz Delieux, des articles sur les bâtiments de 1953 à 1963, sur l’internat et sur la valeur du projet éducatif et pédagogique de l’école lasalienne. Pour se procurer la brochure, il suffit de verser 10 euros +5,35 de frais d’envoi au compte BE02 7320 2939 9640 au nom de l’ESCC avec comme mention : fascicule, nom, prénom et adresse. La version numérique est téléchargeable sur le site de Génération St Jo et celui de l’école sous l’onglet 175è.

     

    DSC_0167.jpegGuy Colson, architecte depuis de nombreuses années des constructions à Saint Jo a remercié le P.O. de leur collaboration sincère et entière qui, au fil des ans, s’est muée en amitié, de la liberté d’expression qui lui a été accordée et de leur diplomatie et du soutien indéfectible apportés dans des situations parfois pénibles.

  • 2.000 euros offerts à l’EPSIS et le FJA de Schaltin

    Grâce aux bénéfices de la vente d’une nouvelle édition du livre « l’entité de Hamois-en-Condroz par la cartes postale ancienne » de Luc Jadot, Rita Montballieu, sa veuve, a remis deux chèques de mille euros dans le hall du château de Valensart.

    C’est en présence de la famille de Rita, des directions du Foyer pour Jeunes et Adultes de l’Institut de Schaltin et de l’EPSIS et de leur P.O., de membres du collège communal, des membres de la Maison de la Mémoire et des représentants des éditions Vezham que s’est déroulée la remise des royalties provenant de la vente du livre de Luc Jadot.

    Jean Adens, nouveau directeur du FJA depuis moins de 4 mois était particulièrement content de recevoir tout ce beau monde.

    Pour Jacques de Cartier d’Yves, président de la Maison de la Mémoire, « Une mémoire du passé, simple et émouvante. Un reflet authentique de la vie quotidienne en milieu rural... C’est par ces mots que commençait la préface de Robert Delieu, écrite lors de la publication en 1984 du livre de Luc Jadot Jr L’entité de Hamois-en Condroz par la carte postale ancienne. Ce livre était le fruit de plusieurs décennies de nombreuses et patientes recherches menées par un homme de passions, un passionné d’images du passé, mais aussi un amoureux de son terroir condruzien et de ses habitants dont il se plaisait à faire revivre l’Histoire, mais plus encore la petite Histoire avec ses multiples anecdotes. Le décès si inattendu de Luc en 2018 n’a pas permis de mener à bien un projet qui lui était cher : un deuxième volume consacré à l’entité de Hamois-en Condroz par la carte postale ancienne. 30 ans de recherches supplémentaires, toujours aussi actives et passionnées, avait, en effet, permis de découvrir bien d’autres images du passé des villages et des hameaux de notre belle entité. A défaut de pouvoir réaliser dans l’immédiat ce projet qui, nous l’espérons, verra le jour dans le futur, l’idée est venue à ses amis avec le soutien sans faille de Rita - sa chère épouse - et de ses enfants, de rééditer le premier volume sous une forme plus moderne et colorée, en corrigeant quelques erreurs de légendes er de commentaires dues à une certaine hâte lors de l’impression en 1984... En outre, en donnant son accord pour la réédition, Rita avait émis le souhait que les bénéfices issus de la vente soient intégralement offerts à l’Institut de Schaltin et plus précisément à L’EPSIS et au FJA, Institut de Schaltin où Luc avait travaillé tant d’années, comme enseignant d’abord puis comme directeur. Nos vifs remerciements à tous ceux qui ont collaboré à cette réédition et plus particulièrement, à Michel Bourdeau des éditions VEZHAM, à Alain Piette de la Maison de la Mémoire de Hamois et à Michel Bohet, ami de toujours pour sa préface. Près de 400 exemplaires de ce beau livre ont été vendus par des libraires et revendeurs zélés de la région. C’est donc avec plaisir, mais émotion aussi sans nul doute, qui Rita va maintenant remettre à l’Institut de Schaltin ce beau chèque à partager entre les deux institutions. »

    Pour Pascal Henri, président du P.O., « nous sommes fiers de notre institution. Tout don est le bienvenu vu que, comme tous, nous n’avons pas assez de nos pouvoirs subsidiant. Depuis 8 mois, nous accueillons à Porcheresse des jeunes souffrant d’autisme. Merci à Luc qui a pu transmettre à beaucoup de monde sa passion du terroir. » S’adressant aux membres du Collège, il a rappelé qu’ils sont le premier employeur privé de la commune de Hamois et que les emplois ne sont pas délocalisables !

    Jean Benoît Gérard, directeur de l’EPSIS, s’est adressé plus spécifiquement à Rita : « les élèves, l’équipe éducative et le P.O. de l’école, te remercient chaleureusement, ainsi que Luc, bien sûr, pour ce don qui, en plus de l’apport financier qu’il représente, est également un signe hautement symbolique. Nous savons toutes et tous, ô combien Luc était attaché à l’EPSIS et au site de Schaltin en général. Luc était toujours bien présent parmi nous. Los de nos rencontres en C.A., nous nous rappelons régulièrement ses nombreuses implications et son héritage intellectuel, au profit de la bonne marche de notre institution. Il est toujours présent également par le biais de la présence de Rose au sein de notre P.O. en tant que membre active. Rose a pris ses fonctions à la suite du décès de son papa, selon le souhait des membres de notre association. Rose s’investit, dans les échanges, expose sa vision des événements, et prend part aux décisions importantes qui doivent objectivement pérenniser la vie de notre école. Luc serait fier de sa fille ! Rita, une fois encore, au nom de tous, nous te réitérons nos vifs remerciements pour les bonne pensées que tu conserves des personnes qui ont côtoyées Luc durant tant d’années sur le site de Schaltin. »

  • Des poules dans 5 écoles communales à Ciney, passage à celle d'Haversin

    En cette fin de mois de septembre, premier mois de la rentrée scolaire, les élèves de 5 écoles communales (Sovet, Braibant, Haversin, Leignon et Pessoux)  ont ou auront le plaisir d’accueillir quelques poules dans leur école.

    Cette initiative s’inscrit dans la démarche « Zéro Déchet » à laquelle la commune de Ciney adhère depuis 2020. L’action est réalisée en partenariat avec l’ASBL Seconde Chance. Comme son nom l’indique, cette ASBL récupère des poules de batteries qui ne sont plus assez rentables pour leur propriétaire. Ces poules sont pourtant jeunes et l’ASBL leur offre donc une seconde vie, plus paisible.

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    Concrètement, la Commune a installé des poulaillers (bien grillagés pour les prédateurs) dans les écoles de Leignon, Haversin, Pessoux, Sovet et Braibant. Lors de l’arrivée des gallinacées, L’ASBL Seconde Chance a proposé une petite formation aux élèves pour qu’ils s’occupent au mieux de leur basse-cour. Une partie des déchets organiques, provenant des repas de l’école, pourra être donner aux poules. Cette action permet aussi de sensibiliser les enfants au bien-être animal et de les conscientiser aux dérives de la grande distribution. Par ailleurs, les enfants pourront reprendre les œufs, quand les poules pondront : en déménageant de leur batterie dans un poulailler de luxe, elles sont encore fort stressées, il leur faudra du temps pour se remettre de leur émotion !

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    Pour l’école d'Haversin, les 5 poules sont arrivées jeudi dernier : elles ont immédiatement reçues le nom d’Éléonore, Chloé, Elodie, Clotilde et Nathalie ! Elles sont nourries un fois par jour, deux écoliers, un grand de primaire et un de maternelle (ils n’oublient pas de mettre leurs bottes !) entrent seuls dans l’enclos pour leur donner à manger et remettre de l’eau et des graines si nécessaire. Comme pour les autres écoles, il a fallu demander à des familles des écoliers voisins de l’école de les nourrir durant le week-end prolongé. Bien entendu, le problème des vacances scolaires est déjà envisagé !