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patrimoine

  • La revue n°151 du Cercle Historique de Ciney vient de paraître en librairie

    La toponymie de la commune de Ciney, un bombardier canadien qui s’est écrasé entre Chevetogne et Leignon, la suite de la découverte du cimetière de Ciney, l’offensive des Ardennes à Conjoux font notamment partie des dix textes des 168 pages du nouveau cahier du Royal Cercle Historique de Ciney. 

    Ciney sous un nouveau jour : un recueil historique qui fait parler les archives oubliées

    Le Cercle historique de Ciney publie un ouvrage collectif qui exhume des pans méconnus de l’histoire locale, mêlant rigueur documentaire et récits humains poignants. En voici les détails.

    Des archives inédites enfin révélées

    En 1963, Jean-Pierre Martin consignait 245 noms de lieux agricoles de l’ancienne commune de Ciney. Son étude, restée dans l’ombre pendant soixante ans, est aujourd’hui publiée (1re partie), enrichie des photographies de Bernard Galet et Charles Motet. Un travail qui éclaire l’histoire rurale et toponymique de la région.

    1943 : le carnet de bord d’un bombardier canadien refait surface

    Amand Collard raconte, à partir d’un document retrouvé aux États-Unis, le destin des survivants d’un crash entre Chevetogne et Corbion. Il parle aussi de l’aide discrète des habitants qui les ont protégés. Un récit qui mêle histoire militaire et mémoire locale.

    Le cimetière, miroir du passé

    Léon Kéfer propose une lecture sensible des tombes du cimetière de Ciney, transformant chaque pierre en témoignage des vies qui ont façonné la ville.

    1875 : le quotidien des aïeux à travers la presse locale

    Philippe Detinne plonge dans les archives de l’époque, révélant une société tiraillée entre modernité et traditions.

    Wallon, langue vivante

    Jean-Pierre Hamblenne et David Delrée célèbrent la vitalité du wallon, à travers des textes pleins d’humour et d’âme, rappelant que la langue est un vecteur essentiel de la mémoire collective.

    Des découvertes insolites

    Des armes anciennes exhumées d’une fosse d’aisances, restaurées et analysées par Philippe Detinne, offrent un éclairage inattendu sur le passé.

    Deux récits forts pour clore le recueil

    Amand Collard signe deux contributions marquantes : le témoignage des habitants de Conjoux pendant la bataille des Ardennes, et l’histoire de la statue de saint Christophe à Haversin, symbole de dévotion et de continuité.

    Un livre à découvrir !

    Ce recueil, fruit d’un travail collectif, dépasse la simple somme d’études : il redonne vie à des histoires, des lieux et des destins qui parlent encore aujourd’hui. Une plongée dans la mémoire locale, à la fois savante et accessible, qui rappelle que l’histoire est aussi une aventure humaine.

    Les différents points de vente (ouvrage de 168 pages – 12 €).

    CINEY : 

    -. Planet Express (M. Barnich), av. Schlögel, n° 115F (à gauche, dès l’entrée sur le site M. Bricolage - 083-220845).

    -. Wama beef – Boucherie Valfrais, allée des Abattoirs, n° 1 – Biron (083-615340).

    -. Les p’tits trésors de Cocotte, rue du Commerce n° 30 

    (0472-877466) [anciens numéros disponibles dans ce point de vente].

    -. Les Pages Blanches de Grégoire, rue du Commerce, n° 35 (083-211589).

    -. Office du Tourisme de Ciney, place Monseu, n° 23 (083-750115).

    -. Centre Culturel, place du Roi Baudouin, n° 1 (083-216565).

    BRAIBANT : Charles Motet, rue des Agauches, n° 7 (0478-705780).

    CHEVETOGNE : Jeannine Molitor, rue du Tour de France, n° 28 (083-213019).

    HAVERSIN : 

    -. Magasin Louis Delhaize (Nancy Jadin), rue de Barvaux, n° 141 (083-699501).

    -. Amand Collard, rue de Barvaux, n° 163 (083-688920). 

    HAVELANGE : Les Filles de Papier, rue de la Station, n° 155/2 (083-611072).

    LEIGNON : Magasin Supra, rue de la Gare, n° 134 (083-212872).

    La liste des revues disponibles peut être demandée par courriel : amand.collard@skynet.be  /  083.68.89.20

  • Accueil des nouveaux habitants à Hamois

    Comme chaque année, l’administration communale de Hamois souhaite la bienvenue à ses nouveaux habitants. L’atelier de Cheumont a été choisi pour les accueillir en présence du Collège communal, de conseillers communaux et du Directeur général.

    Après l’accueil de la bourgmestre Valérie Caverenne, chaque membre du Collège ainsi que le Directeur Général ont présenté la commune via un PowerPoint. En voici quelques chiffres et infos (tout peut être trouvé sur le site de la commune (https://www.hamois.be):

    • 7 villages et 14 châteaux
    • 000 ménages, 1.200 habitants de plus de 60 ans
    • 750 élèves dans les 4 écoles primaires (5 implantations) communales auxquels on ajoute l’EPSIS de Schaltin
    • 150 membres du personnel communal dont les 70 enseignants
    • 80 bâtiments communaux
    • Une CCATM qui a été renouvelée
    • Un parc d’activités Condrolys principalement situé sur la commune de Hamois
    • Une régie communale automne des sports qui s’occupe notamment de stages de vacances pour les enfants
    • Création prochaine d’une maison rurale polyvalente à l’emplacement de l’ancienne école des filles
    • Création prochainement d’un conseil culturel en collaboration avec la Maison de la Culture de l’arrondissement de Dinant
    • Une crèche communale à Emptinne
    • Un bureau de police à Hamois avec des agents de quartier
    • 2 Patros à Hamois et à Schaltin
    • 6 logements adaptés et 2 logements de transit

    Jonathan Gauthier, notamment échevin de l’environnement, a profité de cette matinée pour évoquer l’opération Be Wapp (elle s’occupe du grand nettoyage de Printemps et d'autres actions tout au long de l'année, comme les rivières propres) de mars dernier. 100.000 personnes ont été concernées cette année en Wallonie. 230 tonnes de déchets ont été collectés ! Pour Hamois, 63 sacs ont été collectés au bord des routes représentant 120 kg de déchets. Trois groupes ont été remerciés de leur travail bénévole et ont reçu un panier de produits du terroir : la FJA de Schaltin pour le plus grand nombre de sacs (14), le Patro de Hamois pour le nombre de participants (48) ainsi que l’association citoyenne des Scyoux. L’échevin a rappelé que la propreté, c’est toute l’année, pas seulement lors de telles opérations !

    Après les photos à l’extérieur, sandwiches et verres de l’amitié ont été offerts par l’administration communale et ont permis à chacun de poser des questions très pratiques sur toutes les potentialités de la commune.

  • Inauguration officielle de la salle Les Murmures du Bocq à Mohiville

    C’est en présence de la plupart des habitants de Mohiville et Scoville, de représentants du conseil communal, que les bénévoles de l’ASBL, qui n’ont pas ménagé leurs temps libres pour rajeunir de fond en comble la salle du village, ont présenté à l’aide 50 dias tout ce qui a été fait.

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    Patrick Maréchal, trésorier, a rappelé les dates principales de la salle (son fronton indique 1873 et 1928 !) :

    • 1873, date de la création à Mohiville d’une chorale la Société des travailleurs
    • 1879, elle prend le nom des Murmures du Bocq puis, en 1910, l’Avenir qui gère une troupe amateur. Elle prend une forme juridique d’ASBL le 8 juillet 1928.

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    • Le 17 juillet 1928, décision de la construction d’une salle des réunions et des fêtes. Elle sera inaugurée le 25 décembre 1929.
    • Une A.G. le dimanche 3 août 1930 revient sur le nom des Murmures du Bocq pour l’ASBL. Comme actuellement, elle est gérée par un comité de bénévoles qui est propriétaire de la salle et qui l’entretient.
    • La salle a connu plusieurs liftings : déplacement du bar, aménagement des toilettes et de la cuisine, création d’un faux plafond, installation du chauffage central, … Puis, on a songé à une rénovation plus profonde, le résultat sous vos yeux !

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    Mathieu Derard, secrétaire, a détaillé le déroulement du chantier :

    • Après avoir déflèché la marche ADEPS du 26 janvier, la salle a été vidée et tout le matériel a été mis en lieu sûr puis le bar, le faux plafond, … ont été démolis.
    • La toiture a été démontée par Axel Didier le 1er février puis les entrepreneurs se sont suivis : Michel Moreau pour la maçonnerie, AVLN pour la charpente, Axel pour le terrassement, Rhainotte pour le sablage et le rejointoyage de la façade.

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    • Les bénévoles ont ensuite enchaîner les travaux d’isolation, de placement des 2 km de tuyaux de chauffage au sol. Rémy Bouwens installera le chauffage par le sol au moyen d’une pompe à chaleur. Les tuyaux seront recouverts par une dalle de sol par SolidBéton. Le comité construit les cloisons, la mezzanine, les plafonds, …
    • Dumont Elec intervient pour l’installation électrique, les plaques de plâtre sont enduites par la société Beirart et Michel Moreau revient pour l’escalier et le bar. Enfin, portes et châssis seront placés par la menuiserie Pierre Alexandre.

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    • En ayant vu la brasserie Peak près de Botrange où murs et bar sont garnis de bardages en bois massif, nous pensons faire la même chose ici avec des planches de chêne de chez Hontoir à Faulx que nous plaçons nous-mêmes ! Finalement, parmi les finitions des bénévoles, citons le carrelage des toilettes, les parcloses, le parquet à la mezzanine, les portes intérieures, … au total des centaines d’heures de travail en seulement 5 mois !

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    DSC_0212.jpegSébastien Cellier, président, a déclaré que pour le coût, tout le monde en saura plus lors de l’A.G. en février prochain : « les travaux ont été réalisés en grande partie sur fonds propres de l’ASBL et grâce à un prêt sans intérêt accordé par l’administration communale. Le prêt est lié à une convention public-privé qui va permettre à l’école du village d’utiliser la salle comme réfectoire. Il reste quelques finitions, les anciennes toilettes transformées en réserve et local de douches et la rénovation de la cuisine. La salle est régulièrement réservée pour des locations possibles via https://www.murmuresdubocq.be comme pour des camps du 4 juillet au 17 août. Remercions chaleureusement les artisans, ouvriers et entrepreneurs pour leur travail de qualité et leur implication, ainsi que les bénévoles pour leur générosité et leur énergie sans faille et enfin tous les partenaires qui ont soutenu cette belle initiative. »

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    Après la traditionnelle photo du comité, il restait à chacun de boire le verre de l’amitié, notamment la Super Sanglier, de la brasserie Minne à Baillonville.