Créé en octobre 2020 à l’initiative du Ministre Philippe Henry, le réseau EXPRESS du TEC comporte aujourd’hui 31 lignes, et ce n’est qu’un début.
Lancé à l'origine avec 9 lignes, le réseau structurant EXPRESS s’est élargi chaque année. Aujourd’hui, près de 3 ans après son lancement, le réseau EXPRESS est constitué de 31 lignes qui sillonnent l’ensemble de la Wallonie, dont deux nouvelles depuis ce 28 août : la E67 Bastogne - Luxembourg et la E68 Florenville - Luxembourg. Conçues pour être complémentaires au réseau ferroviaire existant, les lignes EXPRESS relient rapidement, confortablement et en toute sécurité une ville wallonne à une autre.
"Les lignes EXPRESS concrétisent des liaisons rapides et fréquentes entre nœuds urbains, qui ne sont pas assurées par le train. Elles contribuent à offrir plus de liberté de déplacement et plus de confort aux citoyens qui optent pour les transports en commun", pour Philippe Henry, Ministre wallon de la Mobilité.

Des voyageurs convaincus
Le réseau EXPRESS attire 13% des clients du TEC. Chaque mois, c'est 40.000 clients individuels qui utilisent les lignes EXPRESS. Le taux de satisfaction des lignes EXPRESS est également élevé, avec 83% des voyageurs satisfaits du service (confort, rapidité, fiabilité...) et 65% qui estiment que les lignes EXPRESS offrent un meilleur service que les lignes classiques. En un an, le TEC compte 88% de validations en plus sur l'ensemble des lignes EXPRESS ; des chiffres de fréquentation qui évoluent positivement dans toutes les régions concernées, et qui témoignent de l'intérêt des citoyens pour ce service.
"C'est avec un transport en commun fiable et rapide, et qui apporte une réponse efficace et concurrentielle à la voiture, comme le font les lignes EXPRESS, que nous pourrons convaincre davantage de citoyens de faire le choix du transport en commun", ajoute Jean-Michel Soors, Administrateur général du TEC.
Un socle pour les mobipôles
Les lignes EXPRESS, en tant que liaisons rapides, directes, structurantes et complémentaires au train, serviront de socle pour les mobipôles. Il s'agit d'une sorte de hub de mobilité, dont la connexion avec les villages environnants sera notamment assurée grâce à des liaisons piétonnes et cyclables, mais aussi grâce au service TEC à la demande.
Ce service, déjà actif dans les régions de Louvain-la-Neuve et Gembloux - Basse-Sambre, sillonne les zones moins densément peuplées pour permettre aux citoyens qui le souhaitent de rejoindre une offre de transport en commun plus structurante. "Cette intermodalité, c'est la réponse incontournable à la réalité sociale et environnementale qui s’impose à nous", ajoute Jean-Michel Soors.
Dans les prochaines années, le service TEC à la demande sera déployé dans d'autres régions de Wallonie, de même que le seront de nouvelles lignes EXPRESS. Plus d'informations sur les lignes EXPRESS sur letec.be.

Grâce à un programme varié, les élèves belges ont pu découvrir les multiples facettes de cette région. Les professeurs et élèves hongrois leur ont fait découvrir la ville de Budapest. Ils ont visité le parlement, monument emblématique du pays, les quais de Pest le long du Danube, le musée des Beaux-Arts et la place des Héros. Alors qu’habituellement, le journée dans les familles se déroule le dimanche, comme cette date coïncidait cette fois avec la fête de Saint-Etienne et la fête nationale hongroise, elle a eu lieu le samedi. Les Belges ont vécu cette fête nationale en participant à un pique-nique organisé par les parents des correspondants hongrois et en découvrant un défilé chrétien qui commémore la fondation du pays et en admirant le soir le feu d’artifice au-dessus du Danube. En outre, les élèves hongrois et belges ont pu participer à une randonnée dans les montagnes de Buda, à une visite guidée du château Grasslkovich à Gödöllö ainsi qu’une balade en bateau de Budapest à Szentendre (Saint-André). Ce dernier endroit est une ville consacrée aux arts qui offre un beau centre historique. Lors de cette semaine hongroise, la délégation cinacienne a reçu un excellent accueil dans les familles et a bénéficié d’une organisation parfaite des deux professeurs hongrois, Anna Parancs et Anna Sezgerdy. Lors de leurs déplacements dans la ville, certains élèves ont croisé des athlètes des championnats du monde d’athlétisme. Une élève a d’ailleurs eu la chance de se rendre au stade pour assister à quelques épreuves de la compétition. De plus, il y eut un moment shopping dans la ville. Ce voyage était le 6e et dernier de cette 35e Eurodyssée. Dès la rentrée, le comité des professeurs pensera à la préparation de la 36e édition.

La météo était heureusement favorable pour accueillir sur le site du monument un maximum de personnes intéressées par la commémoration : autour de nombreux porte-drapeaux et de membres de fédérations patriotiques, on retrouvait la présence d’autorités communales de Ciney, Havelange, Hamois, Rochefort et Somme-Leuze et de représentants. L’office religieux était célébré par le Chanoine Joseph Jallet avec la présence du Royal Cercle Instrumental et de la chorale cinacienne de la Sagina. 
Pour la première fois, le ban était ouvert et fermé par la cornemuse du Colonel Pierre Florins, membre de la Saint Andrew Scottish Guard, société bien présente. Après l’office religieux, appel a été fait aux 22 maquisards morts pour la patrie et un dépôt de 22 roses a été effectué au pied du monument.
Il a rappelé ce que désigne le mot résistance en évoquant tout ce qui s’est déroulé dans notre pays lors de la dernière guerre. Reprenant William Ugueux, figure de la résistance belle durant la seconde guerre mondiale : de la Résistance, on discutera les résultats, on mettra en doute l’héroïsme, on minimisera l’action, pour la seule raison que la Résistance est le reproche vivant et permanent à l’inaction des autres ! Comme l’an dernier, le parallèle a été entre la Seconde Guerre Mondiale et les conflits actuels dans le monde, en particulier en Ukraine !
La partie protocolaire s’est achevée avec un émouvant hommage en wallon de David Delrée à son oncle homonyme, gendarme et membre de l’A.S. qui, à l’âge de 30 ans, a été sauvagement assassiné et pendu par les Allemands à Sorinnes le 6 septembre 1944. Ensuite, Jean Loubry, a lu deux textes de Paul Éluard en rapport avec la seconde guerre mondiale.